La jeunesse trans emmerde l'extrême droite

C'est tellement réciproque

La jeunesse trans emmerde l'extrême droite

On ne peut pas dire que la jeunesse trans fasse preuve d'imagination dans ses slogans. Ces trucs sont tellement has been...

20min.ch

«La jeunesse trans emmerde l'extrême-droite.» Réunies derrière ce slogan, quelque 600 personnes ont défilé à Genève ce samedi après-midi. Le cortège, coloré, bruyant et bon enfant, est parti du parc des Cropettes, derrière la gare, vers 17 heures. Les manifestants ont emprunté le pont du Mont-Blanc, les Rues-Basses, pour finir leur périple peu après 19 heures vers le centre culturel autogéré de l'Usine.

600 fiottes ont défilé à Genève, godemichés usagés en main, pour appeler à la haine contre les hommes blancs hétérosexuels sûrs d'eux-mêmes et dominateurs. Hélas, cette catégorie de la population n'est malheureusement pas protégée par un alinéa spécifique dans l'article 261bis du code pénal, aucun procureur ne va donc se saisir de l'affaire.

Alors que la capitale romande de la dégénérescence est Lausanne, et de très loin, cette pauvre Cité de Calvin a, à nouveau, été souillée de leur présence.

Les participants, très majoritairement jeunes voire très jeunes, répondaient à l'appel du Collectif Radical d'Action Queer (CRAQ). Celui-ci appelait à soutenir «les luttes de libération trans et non-binaires» et à contrer «la montée de l'extrême-droite et de la transphobie». Durant la procession alternativement rythmée par des percussions et de l'électro, plusieurs slogans visaient l'UDC, parti accusé de combattre l'auto-détermination, l'accès aux soins et le respect des mineurs trans et non-binaires.

Des ados déguisées en jupettes carrelées espèrent contrer l'inévitable montée de l'extrême droite que l'on se félicite joyeusement d'accompagner jour après jour. Malheureusement pour eux, ils sont sous l'influence du CRAQ, un collectif d'immondes travelos antifascistes tout aussi néfaste que l'injection de crack en intraveineuse, la parfaite synthèse entre chiasse et putréfaction. C'est clairement ce qui se fait de pire en Romandie.

Ce logo a été testé positif à toutes les MST d'Afrique
Sur les pancartes des jeunes, les saillies légères («plus d'œstro, moins de fachos», «liberté, égalité, Beyoncé») en côtoyaient d'autres plus graves, telles que «La transition ne tue pas, la transphobie si». Un jeune garçon portait notamment un panneau sur lequel était écrit «transitionner à 16 ans a sauvé ma vie».

La transition est un phénomène qui touche très largement les jeunes. Près de 8 transitions sur 10 concernent les moins de 30 ans. On passe à 9 sur 10 si nous incluons les moins de 40 ans.

Le tiers des transitions effectuées en 2023 sont le fait des moins de 20 ans, dont les trois quarts sont des vulves passant au phallus. Les transitions de la catégorie des 20-40 ans sont légèrement surreprésentées par les phallus passant à la vulve, soit 54% contre 46% pour l'inverse.

Le cortège ne s'est arrêté qu'une fois pour des prises de parole, à la place Bel-Air. Une représentante de l'association Transparents, qui réunit «des parents et des proches de personnes trans, non-binaires et en questionnement d'identité de genre» s'est exprimée. «Nous sommes chefs d'entreprises, enseignants, policiers, médecins. Nous avons des opinions politiques diverses. Mais ce qui nous unit, c'est l'amour inconditionnel de nos enfants.» Elle a salué «leur courage, car il en faut, du courage, alors que les minorités sont les premières cibles des mouvements fascisants. Nous sommes là pour qu'iels aient accès aux soins, soient reconnus pour qui iels sont. Soyez libres, soyez qui vous êtes!»

Je peux tout à fait m'imaginer la détresse d'un parent dont l'enfant souffre d'une réelle dysphorie de genre. D'après les transphobes de Wikipédia :

Ce trouble affecte de 0,005 à 0,014 % des personnes nées de sexe masculin, et de 0,002 à 0,003 % des personnes nées de sexe féminin.

Mais de là à participer à une association qui conforte dans leurs divagations les adolescents suffisament perdus pour avoir succombé à cette propagande infernale promouvant le gavage aux hormones ou la mutilation des organes génitaux, c'est basculer dans la maltraitance tout en faisant étalage d'une prétendue vertu.

« Soyez libres, soyez qui vous êtes ! », parfaite affirmation de leur nihilisme absolu. Il existe des solutions pour ce genre de cas pathologique.

Une façon plus adéquate d'être libre
Un collectif kurde a aussi dénoncé la double violence à laquelle sont  exposés les réfugiés trans, parce qu'ils sont réfugiés, et parce qu'ils sont trans. «La transphobie et l'extrême-droite se nourrissent l'une l'autre. Nous luttons contre toute forme de haine et de discrimination.»

Il ne manquait plus que des kurdes sidaïques pour parfaire le tableau. Quelle manifestation de tarés. Heureusement que l'extrême droite n'y était pas invitée !

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