L'avocat Juif antigoyim Grumbach s'en est allé rejoindre Bélial

Il sera mieux là où il est

L'avocat Juif antigoyim Grumbach s'en est allé rejoindre Bélial

Nous ne sommes pas du genre à nous réjouir outre mesure de la mort de nos ennemis. Cependant, il y en a certains qui, par leur insistance dans les persécutions judiciaires, méritent qu'on s'y attarde afin d'égratigner leur mémoire.

Philippe Grumbach était un Juif dont la haine pour les Européens était conforme aux préceptes du Talmud, absolue.

Magré son air niais, Grumbach savait faire preuve d'une nocivité extrême

Il fit de sa vie entière un combat contre ceux qui voyaient clair dans le jeu de la juiverie et dénonçaient courageusement ses agissements contre notre civilisation.

Tdg.ch

L’ancien président de la Cicad Philippe Grumbach est décédé dans la nuit de vendredi à samedi, des suites d’une maladie. L’avocat genevois s’est aussi fait connaître pour avoir plaidé contre des négationnistes et des auteurs d’actes antisémites. Il avait 65 ans.

Mourir de maladie à l'aube de la retraite, d'aucuns diraient qu'il s'agit là du Karma. Espérons pour Grumbach qu'il ait eu le temps de faire Techouva.

La nouvelle a été confirmée à Keystone-ATS par Johanne Gurfinkiel, l’actuel secrétaire général de la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation (Cicad).

Johanne Gurfinkiel est un autre Juif au cœur emplit de malveillance à l'égard de l'Helvète trop tolérant pour la détestation dont il est l'objet. Nous reviendrons sur son cas dans un article à part entière tant ce personnage est pourrit par l'exécration.

Les Juifs Grumbach et Gurfinkiel, conspirant sous un parapluie à l'abri d'une averse antisémite
Philippe Grumbach a présidé la Cicad entre 2001 et 2009. Il a aussi été son avocat durant une vingtaine d’années, plaidant lors de nombreux procès, parfois retentissants comme dans l’affaire Dieudonné.

C'est donc en tant qu'avocat de la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation (CICAD), le lobby juif romand, que Grumbach a été le plus nuisible pour nous autres nationalistes. Voici une liste, bien sûr loin d'être exhaustive, des camarades qu'il s'est acharné à traîner devant les tribunaux, avec parfois, à la clé, des condamnations à de la prison ferme :

Sans compter les amendes et frais de justice. Nous précisions encore que certains ont été condamnés plusieurs fois, à l'instar récemment de René-Louis Berclaz, sans sursis à 140 jours-amendes à 15 francs ou Philippe Brennenstuhl, avec sursis à 30 jours-amendes à 50 francs.

Il n'y a qu'un seul point commun entre ces condamnés : tous ont osé exprimer leurs doutes publiquement sur l'existence des chambres à gaz hitlériennes.

Philippe Grumbach a aussi été membre du comité suisse de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) et président de la Communauté israélite de Genève.

Il est parfois possible de collectionner plusieurs tares, que voulez-vous...

«C’était un personnage à part, un citoyen très engagé et un militant accompli à tous les niveaux. Il a été de tous les combats», salue Johanne Gurfinkiel. «Il a marqué la Cicad et restera dans la postérité», ajoute-t-il.
Les Juifs Grumbach et Gurfinkiel, conspirant en manteau à l'abri du froid antisémite

On peut également mettre au crédit accablant de cet ennemi de la liberté d'expression son militantisme pour la norme pénale antiraciste que nous avons traitée dans l'article « La croix blanche, à l'ombre de l'étoile bleue ».

Le décès de ce triste Juif nous a donné l'opportunité d'illustrer les dégâts occasionnés par l'ajout de ces quelques lignes dans notre code pénal. Plus vite nous les abolirons, mieux nous nous porterons. En tout cas, mieux que Grumbach.

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