Le DFAE, «cabinet des curiosités» selon Vladimolf Poutler

Pour le coup, il n'a pas tord

Le DFAE, «cabinet des curiosités» selon Vladimolf Poutler

Je ne parviens plus à faire la différence entre notre diplomatie et un quelconque asile psychiatrique.

24heures.ch

Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) ne réagit pas aux critiques du président russe Vladimir Poutine contre la conférence de paix sur l’Ukraine prévue au Bürgenstock (NW), a-t-il indiqué vendredi à l’agence de presse Keystone-ATS. Il ne commente pas les déclarations des chefs d’État étrangers, a-t-il expliqué.

Quoi de mieux que d'organiser une conférence internationale sur la paix en Ukraine dans un somptueux hôtel qatari ?

Bürgenstock Resort, hôtel favori des milliardaires du désert

Une belle occasion de s'exploser la panse de caviar et se faire polir le chinois par des escorts bien trop cher payées, suivant le modèle du Forum de Davos.

Dans un discours prononcé jeudi, Vladimir Poutine avait déclaré que la Russie n’était pas invitée, alors qu’il était dans le même temps admis que rien ne pouvait être décidé sans Moscou. Et comme aucune délégation russe ne se rend à cette conférence, on dit que la Russie refuse les négociations. «C’est un vrai cabinet de curiosités», a commenté Vladimir Poutine.

Selon le DFAE, les invitations à la conférence de paix de juin seront envoyées à environ 120 Etats dans les semaines à venir. La Russie n’y participera pas, avait déjà déclaré Ignazio Cassis mercredi. Mais il est clair qu’un véritable processus de paix ne peut finalement avoir lieu qu’avec la participation des deux parties, écrit le DFAE à ce sujet vendredi.

Mercredi, Ignazio déclare que la Russie ne sera pas de la partie. La RTS parle de "refus".

Jeudi, Vladimolf précise que son pays n'a pas reçu d'invitation.

Vendredi, le DFAE admet qu'aucune paix n'est envisageable sans les Russes.

Ignazio peut compter sur le dévouement sans faille de ses proches collaborateurs
Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a été le premier avec lequel le chef de la diplomatie suisse s’est entretenu de la tenue concrète d’une conférence, précise le DFAE. À cette occasion, M. Cassis a déclaré que la Suisse souhaitait discuter ouvertement de tous les points de vue et examiner tous les plans de paix.

C'est tout de même compliqué sans la participation des Russes. De toute manière, aucun scénario de paix n'est à prévoir sans la prise en considération de leurs intérêts. Les sacrifices auxquels ils ont consentis sont bien trop importants pour revenir à la situation d'avant-guerre.

Situation au 12 avril 2024

Dans l'article de Swissinfo, on nous la ramène encore avec le plan de paix de l'homme aux narines ravagées par l'excès de drogue, j'ai nommé Zelensky.

Pour rappel, ce plan, rédigé entre deux rails de coke et présenté en 2022, exige entre autre le retrait pur et simple des troupes russes et le rétablissement des frontières au 24 février 2022, ou encore la mise en place d'un tribunal spécial pour juger les dirigeants russes et ainsi rééditer les Procès de Nüremberg.

Quel État, alors même qu'il est en position de force sur le terrain, accepterait les conditions sans concession de son rival en difficulté ? C'est ridicule. Comment, en tant que diplomate suisse, peut-on prétendre avoir l'espoir d'une paix basée sur les délires d'un cocaïnomane endurci ?

Lendemain d'une soirée un peu trop poudrée

Tant que l'Axe du Bien / l'Empire de la Vérité / Les Démocraties occidentales, à défaut de l'envoyer en cure de désintoxication, ne forceront Zelensky à adopter des positions plus réalistes, aucune solution ne permettra l'arrêt de cette guerre fratricide.

Le temps joue contre les Blancs.

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