Le Parlement adopte une nouvelle loi antinationaliste

Une institution de marionettes, rien de plus

Le Parlement adopte une nouvelle loi antinationaliste

Le 17 avril 2024 est un jour funeste pour la Suisse et sa plus que très relative liberté d'expression. Après le Conseil des États en fin d'année dernière, le Conseil national a finalement approuvé une nouvelle loi liberticide nommée « Interdiction de l'utilisation publique de symboles racistes, faisant l'apologie de la violence et extrémistes, comme les symboles nazis ».

Avec un titre comme celui-là, je doute qu'un comité référendaire parvienne à récolter le nombre de signatures nécessaire pour porter l'objet devant le peuple. N'importe quel normie, même un tant soit peu de droite, trouvera tout à fait normal de voter un texte qui prétend interdire la méchanceté.

Ce qu'il ne connait pas, par contre, ce sont les implications d'une telle disposition légale. Grâce à elle, notre pays rejoint la Belgique dans l'avant-garde en matière de lutte antiblanche :

Mais d'où provient donc cette nouvelle loi stupide qui relève, à l’aube d’un contexte de troisième décennie du XXI siècle, d’une absolue priorité ?

Chronologie

30 novembre 2021

La Conseillère nationale Marianne Binder dépose la motion « Condamnation ferme du Troisième Reich. Interdire sans exception les symboles nazis dans l'espace public ».

Marianne Binder est une boomeuse extrême-centriste argovienne dont la grand-mère maternelle planquait des Juifs dans son hôtel pendant la deuxième guerre mondiale. Sans doute faut-il chercher là son désir ardent de leur octroyer des privilèges particuliers.

4 mai 2023

En début de débat au Conseil national, la mère Binder annonce sans aucune once de honte pour qui elle roule depuis le début :

Ma motion fait suite à différents rapports, d'une part de la Fondation contre le racisme et l'antisémitisme (GRA) et d'autre part de l'Association suisse des communautés juives (SIG).

Une fondation qui contient dans son appellation « contre le racisme » nous pousse naturellement à croire que l'ensemble des races prétenduments opprimées par les Blancs sont représentées dans leur comité directeur. Voyons cela de plus près :

Le fondateur, Sigi Feigel, fut le boss de la juiverie zurichoise entre 1972 et 1987. Il s'illustra plus tard par son acharnement en faveur de la norme pénale antiraciste. Décidemment, les Juifs ont un réel problème avec notre liberté d'expression.

Du côté des membres du conseil de fondation, c'est littéralement la Liste de Schindler :

  • Pascal Pernet, juif
  • Dr. Zsolt Balkanyi-Guery, juif
  • Dr. Vera Rottenberg, juive
  • Daniel Jizchak Schächter, juif
  • Dr. Dominic Pugatsch, juif
« Nous luttons contre toutes formes de racisme »

Pour en revenir à la motion, elle est adoptée par le Conseil national, dont 20% des parlementaires UDC soutiennent le texte.

13 octobre 2023

Lors des débats, la commission du Conseil des États propose à son Conseil d'adopter sa propre motion et de rejeter celle de la servante des Juifs, Marianne Binder.

Céline Vara justifie la décision de la commission tant bien que mal :

[...] le législateur ne pouvait se résoudre à condamner une incitation à la haine contre une seule communauté ou sensibilité. En effet, il est tout aussi souhaitable que de tels symboles, s'ils incitent à la violence et à la haine contre une minorité, quelle qu'elle soit, puissent être interdits. Les membres de la commission ont estimé, à ce stade déjà, qu'il était nécessaire de combattre toute forme d'idéologie extrémiste faisant l'apologie de la violence.

Il n'en faut guère plus pour fâcher tout rouge les Juifs de la FSCI. Le lendemain, on lit les titres de leur article tels que :

La FSCI et la PJLS exigent une focalisation sur les symboles nazis

Ou encore :

Une liste de symboles nazis interdits peut être dressée et appliquée rapidement

C'est de cette façon que ces Hébreux s'adressent à nos représentants qui, plutôt que de s'affairer aux intérêts du peuple helvète, se jettent aux pieds du peuple élu.

Tant qu'on y est, embrayons sur une petite digression. Le 23 novembre 2023, la commission des finances du Conseil national rejette la proposition d'allouer des moyens supplémentaires à la sécurité des Juifs minorités.

Le même jour, la FSCI menace :

Dans son budget 2024, la Commission des finances du Conseil national a refusé d’augmenter le soutien financier pour la sécurité des minorités menacées. La FSCI déplore cette décision et demande au Conseil national de la rectifier.

Le 11 décembre 2023, soit 4 semaines plus tard, elle clame triomphalement :

Le Parlement annonce une augmentation du soutien financier pour la sécurité des minorités religieuses menacées

C'en est caricatural...

20 décembre 2023

Le Conseil des États, clairement antisémite, suit l'avis de sa commission. La motion Binder est définitivement enterrée, ce qui implique le passage de cette nouvelle motion en second conseil.

Les Juifs explosent de rage devant cette insoumission aryenne :

La FSCI et la PJLS se disent irritées par le fait que le Conseil des États sape les projets déjà bien avancés, comme ceux de Marianne Binder-Keller, avec ses propres démarches.
« Zal Goyim ! »

Malgré ce contretemps, ils ne perdent pas un instant pour donner leurs consignes :

[...] les associations juives insistent sur une approche progressive. Dans un premier temps, il s’agirait d’interdire une liste claire de symboles nazis, comme la croix gammée, le salut hitlérien, la rune de la victoire des SS, la tête de mort SS et l’étoile jaune, qui pourrait être présentée de manière intelligible à la population. Cela n’exclut pas la possibilité d’interdire d’autres symboles extrémistes lors d’étapes suivantes.

23 février 2024

Le texte passe en commission du Conseil national. Sans surprise, elle propose à son Conseil d'adopter la motion de la commission du Conseil des États. Dans son communiqué de presse, elle précise toutefois :

La commission est favorable à une mise en œuvre rapide de l’interdiction de l’utilisation de symboles nazis. Elle estime que l’interdiction peut être étendue à d’autres symboles racistes, faisant l’apologie de la violence et extrémistes. Elle souhaiterait cependant procéder par étapes, en interdisant dans un premier temps les symboles liés au troisième Reich.

La commission se plie à la lettre aux exigences du lobby juif. Ce n'est pas une obsession antisémite propre à une culture d'extrême droite mais une réalité tout à fait démontrable pour peu qu'on ait le courage de s'y atteler et de voir ce que l'on voit.

La dernière étape s'est jouée cette semaine, lors de la dernière session parlementaire, avec le résultat que l'on connaît.

17 avril 2024

Les débats ne sont qu'une grotesque ode à la gloire de la démocratie teintée de pénibles psalmodies à propos d'heures sombres historiques. Ces parlementaires ont le don de tout rendre extrêmement chiant.

Lorsque des membres de l'UDC s'interrogent sur l'omission volontaire des symboles du communisme, Raphaël Mahaim, l'un des avocats des vieilles qui ont fait condamner la Suisse à la CEDH pour inaction climatique, s'emballe et répond qu'il est beaucoup plus difficile de juger ce qui est extrémiste lorsqu'il s'agit de son bord politique.

Pour Mahaim et son ophtalmo, il est beaucoup plus difficile de dire que le symbole de gauche est plus extrémiste que celui de droite

La loi est adoptée à 133 voix pour. Les 38 voix contre et les 17 abstentions proviennent toutes des rangs de l'UDC.

La trahison de l'UDC romande

Terminons sur une note atonale. Sur un total de 67, seuls 38 Conseillers nationaux de l'UDC suisse, dont 3 romands sur les 14 qui siègent au Conseil National, ont voté contre cette loi.

Voici les seuls Romands valables au sein de ce parti :

  • Jean-Luc Addor, Valais
  • Thomas Stettler, Jura
  • Manfred Bühler, Berne

Sur les 29 qui n'ont pas voté contre, 11 proviennent de l'UDC romande, soit 38%, alors qu'elle ne représente que 21% de l'UDC suisse.

Au niveau de l'UDC suisse, 9 Conseillers ont carrément soutenu la loi, dont 7 sont romands. Les 4 autres se sont abstenus. Cela signifie que 78% de ceux ayant voté pour le texte proviennent des sections romandes.

J'ai mal à ma Romandie

On vous balance les noms de ces gens inutiles par cantons car les droitards démocrates doivent savoir pour qui ne plus voter aux prochaines élections :

Genève

  • Céline Amaudruz, pour
  • Thomas Bläsi, pour
  • Roger Golay, pour
  • Daniel Sormanni, pour

Vaud

  • Jacques Nicolet, pour
  • Michaël Buffat, abstention
  • Sylvain Freymond, abstention
  • Yvan Pahud, abstention

Fribourg

  • Nicolas Kolly, pour
  • Pierre-André Page, abstention

Neuchâtel

  • Didier Calame, pour

Des membres du parti censément représenter l'incarnation de l'intolérance votent contre le droit au peuple à s'exprimer et se prosternent devant les lobbies juifs qui, en retour, les méprisent abondamment.

La démocratie, ce spectacle masochiste.

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