Les expulsions des criminels étrangers

Un décryptage nécessaire

Les expulsions des criminels étrangers

En 2010, après une première initiative populaire pour le renvoi des étrangers criminels acceptée à 52.9%, le peuple s'est prononcé une seconde fois en 2016 pour durcir cette loi que le parlement sabotait en sous-main.

Hélas, cette seconde initiative fût un échec, les Suisses n'ayant pas supporté de se faire traiter de salauds sans cœur par tout ce que compte la lie gauchiste, à savoir les médias, les associations et profs d'université. C'est donc l'initiative de 2010 qui entra dans les textes de loi sous la forme de l'article 66a relatif aux expulsions. Mais qu'en est-il réellement de son application ?

Nous allons ici synthétiser les chiffres que l'Office de la Vérité nous fait la grâce de publier. Pour notre étude, nous avons pris en compte toutes les données à notre disposition allant de 2019 à 2022 relatives aux infractions commises par des étrangers censées engendrer un renvoi dans leur pays de tocards.

Pour commencer, nous avons choisi de procéder à un regroupement en 4 catégories des 20 infractions les plus fréquemment condamnées, soit :

  1. Trafic de drogue et vols agravés (7'461 condamnations)
  2. Fraudes et escroqueries (1'725 condamnations)
  3. Crimes sexuels (1'168 condamnations)
  4. Crimes contre les personnes (1'063 condamnations)

Pour chacune d'elles, nous fournirons un détail qui permettra de se faire une idée de l'application réelle des volontés du peuple exprimées dans les urnes.

Le graphique ci-dessous présente une vue générale de notre analyse :

Sans plus attendre, penchons-nous sur le détail de la catégorie comportant le taux d'expulsion le plus élevé (76%), à savoir le trafic de drogue et vols commis avec violence :

Alors que les coupables de cas graves de vol et de trafics de drogue sont assez souvent renvoyés, le taux d'expulsion le plus faible au sein de cette catégorie concerne les violations de domiciles. Un étranger qui s'introduit chez vous en mettant potentiellement en danger votre famille à un peu plus d'une chance sur deux de se voir expulser du territoire.

À l'opposé, analysons la catégorie avec le taux d'expulsion le plus faible (16.8%), les fraudes aux assurances et escroqueries pour bas QI :

Pendant que la classe moyenne croule sous les augmentations des charges d'assurance, les parasites qui se font serrer à piller ces fonds destinés à aider ceux du peuple les plus en difficulté ne sont tout simplement pas renvoyés. Nous tombons même à un taux en-dessous de 10% pour des cafards s'adonnant à des escroqueries.

Changeons de perspective pour aller sur des catégories non plus financières mais en lien avec l'intégrité physique des personnes. Commençons par les crimes sexuels et son taux d'expulsion dépassement péniblement les 30% :

La centaine d'étrangers coupables de viols entre 2019 et 2022 ont été renvoyés à un taux de 70%. Ce qui signifie que 30 violeurs sont actuellement sur le territoire, prêts à récidiver dès leur sortie de prison, pour autant qu'ils y soient encore.

L'envoi de dickpick est le cas le plus fréquent des crimes sexuels, classé sous l'infraction « pornographie ». Paradoxalement, ces Roméo de l'époque contemporaine ne sont renvoyés qu'à un taux de 10%.

Mais le plus insupportable, c'est sans aucun doute le taux d'expulsion abusivement bas des actes d'ordre sexuel avec des enfants. Nous sommes sous la barre des 40%, soit près de 120 pédophiles conservés pour vous sur sol suisse, à vos frais, représentant une menace directe pour votre descendance.

Venons-on enfin aux crimes contre les personnes dont le taux d'expulsion frôle les 50% :

Les coupables de meurtre sont renvoyés en moyenne 4 fois sur 5. Le trafic d'être humains est lui sanctionné par expulsion à un taux de 62.5%.

Les demi-assassins, coupables de lésions corporelles graves, sont à peine renvoyés une fois sur deux, tout comme les auteurs d'incendie criminel.

Pour tout ce qui à trait aux séquestrations, enlèvements, mise en danger de la vie d'autrui et agressions, les taux d'expulsion passent sous les 50%. Pour cette dernière infraction, qui pourtant est la plus fréquente (250 depuis 2019), à peine plus d'une personne sur 5 est renvoyée dans son trou à merde, soit inversément proportionnel aux coupables de meurtre.

L'on entend parfois, ça et là, qu'il n'est pas normal que les jeunes délaissent la politique et se désintéressent des votations. Mais nous avons là un exemple flagrant d'une des raisons de cette absence d'intérêt démocratique : les volontés ne sont tout simplement pas respectées, le système politico-judiciaire empêchant au processus d'aboutir en invoquant des motifs de droits internationaux, tel que le danger que pourrait encourir dans son pays l'étranger à renvoyer.

Au nom des droits de l'homme, on vous force, vous et vos enfants, à vivre aux côtés de potentiels agresseurs parce qu'ils risqueraient de se faire agresser chez eux. En résumé, les autorités de ce pays préfèrent assurer la sécurité des criminels étrangers avant celle des autochtones qu'elles sont censées protéger.

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