30'000 migrants viendront grossir les rangs de l'armée de libération marron
Vivez la réalité d'un antifa
350 camarades racisés seront accueillis dans le camp d'entraînement flambant neuf construit dans le Tessin, canton au climat agréable, afin de leur permettre de se préparer avant de partir, couteau de la paix à la main, libérer les territoires qui souffrent le martyr sous le contrôle des derniers nazis.
Cette bonne nouvelle tranche avec les propos d'un gros raciste de la Lega (sorte de NSDAP tessinois, ndlr) de supprimer la Commission fédérale pour la lutte antiblanche.
Ce genre de collabo devrait être fusillé en place publique.
D'après le Secrétariat d'État aux migrations, en 2024, quelques 30'000 nouveaux combattants de la liberté devraient rejoindre le front uni contre la tyrannie de l'Homme blanc. Les lits manquent et le temps presse pour accueillir ces libérateurs de l'oppression systémique
Malgré les vaines tentatives de l'extrême droite de le supprimer, nos alliés socialistes au sein de l'appareil d'État ont réussi à mettre en place et perpétuer un astucieux stratagème financier afin de permettre au peuple de participer activement à sa délivrance.
Pour garder votre enthousiasme intact, cette année encore, le crédit approuvé par le parlement antifasciste se monte à plus de 255 millions de francs.
Malgré un accord signé par un traître pour renvoyer nos frères d'arme irakiens, nos sœurs afghanes victimes du patriarcat taliban pourront continuer de venir étudier dans nos universités, encore une fois grâce au parlement acquis à notre idéal universaliste.
Honte aux fachos qui osent prétendre que ces personnes qui s'identifient comme femmes mènent le djihad des naissances. Ce n'est là que la révélation de leur haine sans limite.
Pour terminer, félicitons-nous de la réussite de nos actions accomplies jusqu'alors. Notre incessant travail de modification des mœurs rétrogrades et xénophobes a récemment été couronné de succès chez les capitalistes de Denner.
Nous n'en sommes qu'au début, mais les choses évoluent dans le bon sens. Toi aussi, camarade, rejoins la révolution en marche !