Alain Soral ira bien en prison pour l'affaire de la grosse lesbienne
Dans la plus ancienne et meilleure démocratie du monde
Il fait toujours bon vivre en Suisse. Le Tribunal Fédéral a rendu son verdict en dernière instance, et confirme la condamnation d'Alain Soral à une peine de prison ferme de 40 jours pour discrimination et incitation à la haine en raison de l'orientation sexuelle. En d'autres termes, pour avoir traiter une grosse lesbienne de grosse lesbienne.
Pour les rares personnes qui n'auraient pas suivi l'affaire, je vous renvoie à l'article que l'ancienne équipe avait rédigé à l'annonce de la première condamnation.
Entre-temps, l'affaire a fait le tour du monde, notamment grâce à ce bon vieux Elon Musk, qui a relayé l'information sur X. De l'Angleterre, en passant par la France et les États-Unis, notre justice s'est légitimement fait humilier à l'échelle planétaire.
Le procureur général Eric Kaltenrieder, quant à lui, se frotte les mains et se réjouit de cette condamnation honteusement démesurée, qui n'est rien d'autre qu'une atteinte totale à la liberté d'expression dans la soit-disant (je me permet de le rappeler) meilleure démocratie du monde. Cette décision, qui fera dorénavant office de jurisprudence à l'extension de l'article 261 bis du Code pénal, n'est rien d'autre qu'un pas de plus dans l'agenda boueux du lobby LGBTQP. Par ailleurs, les associations hystériques qui se réjouissent de l'emprisonnement de Soral sont étonnement les mêmes que celles qui avaient fait condamner notre média.
Oui, il fait bon vivre en Suisse, en 2024. Pendant que des agresseurs multirécidivistes s'en tirent avec du sursis, ceux qui n'ont pas choisi le bon camp finissent sous les verrous, pour de simples paroles.
Soutien à Alain.