Bellinzone: deux femmes djihadistes condamnées avec sursis

Un traitement psychiatrique et c'est reparti

Bellinzone: deux femmes djihadistes condamnées avec sursis

En Suisse, il vaut mieux avoir fait partie de l'État islamique que d'écrire des articles dénonçant le lobby militant pour la normalisation de la pédophilie.

Rts.ch

L'aînée écope de 14 mois de prison avec sursis. La cadette, qui n’a pas le passeport suisse, risquait l’expulsion, mais il n’en sera rien: elle a été condamnée à une peine de prison de 18 mois avec sursis.

Le Tribunal pénal fédéral a estimé que son risque de récidive était faible et qu’elle ne représentait pas un danger pour la sécurité publique.
Un suivi psychothérapeutique et psychiatrique a, en revanche, été ordonné pour les deux sœurs.

Effectivement, le risque de repartir en Syrie est faible. De là à dire qu'elle ne représente plus un danger, je suis dubitatif. Les journalistes engagés du Blick ont très justement fait remarquer qu'avant d'être tunisiennes, elles étaient avant tout « vaudoises », et ça c'est important.

La Cour des affaires pénales a reconnu les deux femmes d'infraction à la loi interdisant les groupes Al-Qaïda et Etat islamique.

En novembre 2014, la plus jeune avait tenté une première fois de rejoindre l'EI, en compagnie de son fils mineur. N'étant pas parvenue à franchir la frontière entre la Turquie et la Syrie, elle était rentrée en Suisse.

Le 3 février 2015, la cadette était repartie avec son fils et son aînée. Le trio était parvenu cette fois à entrer en Syrie. A leur arrivée dans une ville contrôlée par l'EI, les deux femmes avaient été séparées du garçon et placées dans un foyer.

Au bout de trois jours, les deux soeurs avaient demandé à rentrer en Suisse avec l'enfant. Soupçonnées d'espionnage, elles avaient dû attendre la fin mars pour pouvoir quitter le pays. Entre juin 2015 et février 2016, la cadette avait encore versé quelque 6000 francs à l'EI.

Avec ces versements plusieurs mois après leur retour de Syrie, ce n'est visiblement pas les divergences idéologiques d'avec l'EI qui ont motivé ces terroristes à rentrer en Suisse, pays d'accueil cocufié jusqu'à la moëlle.

Le dispositif du jugement publié jeudi ne mentionne pas des projets d'attentats contre l'ONU et les Gay Pride de Zurich et Berne. Ces plans auraient été échafaudés durant le séjour des deux femmes dans le foyer de l'EI.

Les journalistes esclaves des banquiers privés qui possèdent Le Temps assurent que cette histoire d'attentat est une fake news. Je n'ai pas accès à l'article en entier, mais les connaissant, j'imagine qu'ils doivent dénoncer une campagne stigmatisante d'extrême droite.

D'après le dictionnaire romand du journalisme, « Vaudois » est un synonyme de « Tunisien »

Les deux accusées sont d'origine tunisienne. L'aînée dispose également du passeport suisse. La cour a renoncé à prononcer l'expulsion de la cadette. Les soeurs devront suivre un traitement psychiatrique durant la période de probation. (arrêt SK.2023.26 du 23 mai 2024)

Je peine à comprendre la clémence d'un tel verdict, alors qu'elles ont tout de même chercher à s'attaquer aux divinités de l'anus, sacrilège des sacrilèges en terres helvétiques.

Cette indulgence est sans doute liée à l'oppression religieuse qu'elles ont subi jusqu'à aujourd'hui, exercée par le patriarcat chrétien islamophobe. Et puis, il ne faudrait tout de même pas séparer les membres d'une famille unie dans l'amour de la patrie, imaginez les traumatismes que ce procédé fasciste pourrait engendrer.

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