Berne: un Afghan de 25 ans agresse sexuellement des mineures

Toutes ces agressions de migrants sur des jeunes filles, c'est à cause de l'extrême droite.

20min.ch

On peut être condamné pour la façon dont on épluche une banane. Enfin presque. Il y a quelques semaines, un Afghan de 25 ans, qui voyageait dans un tram bernois, a repéré deux passagères âgées de 12 et 13 ans. En les regardant, il a épluché une banane et l'a prise dans sa bouche en la «tordant et en la bougeant comme s'il était en train de satisfaire quelqu'un oralement», rapporte l'ordonnance pénale récemment rendue à l'encontre de l'accusé. Ce dernier s'est aussi saisi de son entrejambe et a harcelé verbalement les jeunes ados.

Des gamines de 12 et 13 ans. Cet Afghan doit trouver ça tout à fait normal, lui qui a probablement été bacha bazi.

Plus tard, alors qu'il était assis sur un banc dans un parc, le vingtenaire a fait des avances à deux autres mineures de 14 et 17 ans, et aussi tenté de toucher les parties intimes de la plus âgée. Au total, dix victimes ont été harcelées sexuellement par le prévenu, qui a pincé la poitrine de filles et femmes et s'est dénudé devant certaines. L'accusé a même frappé l'une d'elles, à plusieurs reprises, au visage avec sa main ouverte et a craché sur une autre.

Bien qu'il connaisse certainement Victor Hugo sur le bout des doigts, « le vingtenaire » est étranger à l'amour courtois.

Le jeune homme de 25 ans s'est rendu coupable de nombreuses infractions au code pénal au cours des deux dernières années. Il a finalement été interpellé au centre-ville de Berne, à la suite de différents signalements. Mais cet Afghan n'aurait jamais dû se trouver en Suisse à ce moment-là, puisqu'une expulsion avait été prononcée à son encontre en décembre 2021.

Voilà, nous en sommes au niveau de la France. Des obligations de quitter le territoire sont prononcées, mais dans les faits, elles ne sont pas exécutées. Résultat, des citoyennes se font agresser sexuellement par des Afghans pédophiles.

Pour le Ministère public de Berne-Mittelland, la prison semble être la seule solution pour empêcher le prévenu de commettre d'autres infractions. Ce dernier a donc été condamné à rester derrière les barreaux pendant 170 jours, pour violence et menaces contre des fonctionnaires, harcèlement sexuel ou encore consommation illégale de drogues. Entre les amendes et autres frais, il devra s'acquitter d'un montant de 6117 francs.

Les amendes sont inutiles pour ce genre de primitif qui ne comprend que le langage de la violence. Si seulement nous pouvions prononcer de vraies peines dissuasives à coup de barre à mine avant de les renvoyer dans leurs pays de débiles...

Hélas, la démocratie est plutôt d'avis que lui offrir des vacances en pension complète aux frais du peuple est une meilleure alternative.