Ces Suissidaires civilisationnels

Quand tu te hais au point de suicider ta famille avec toi

Ces Suissidaires civilisationnels

À l'heure du grand remplacement des Suisses et des Blancs, dans un sens plus large, la réponse logique et saine de toute société serait que la majeure partie de la population s'insurge et se révolte contre sa propre disparition. C'est sans compter les tombereaux d'antiracisme infligés aux jeunesses blanches succesives depuis 1945. Citons Hollywood, les sciences sociales (cf. école de Francfort), la « libération » sexuelle, la désacralisation de la famille, l'agenda des fesses, le culte millénariste du climat, entre autres.

Si parmi eux, se trouvent des valeureux comme nous (vous et nous, amis lecteurs), qui luttons à contre-courant contre une des plus grandes opérations de lavage de cerveau de l'histoire, qui (voulue ou non...) se dirige vers notre éradication de la surface de la Terre, il se trouve aussi dans ces jeunesses, de drôles d'anomalies, comme des cellules cancéreuses qui se suicident, en emportant tout le reste du corps social dans leur chute.

Intéressons-nous donc à ces « Souchiens » (comme nous nomme Houria Bouteldja, grande référence de la gauche actuelle) qui se haïssaient tant qu'ils voulaient non seulement tuer le père, mais aussi la famille et la lignée, tant qu'à faire, vous me mettrez la patrie, aussi...

Dans nos jeunes pleins d'avenir, se trouvent en effet des suicidaires de la Nation, qui se détestent, mais qui sont on ne peut plus de chez nous. Je vous propose d'en étudier quelques-uns, car il faut bien rire, et surtout leur asséner que leurs luttes pour les peuplades indigènes d'Outremer est bien hypocrite, quand on voit leur acharnement à nier ce même droit aux peuples blancs de par le monde, et ce même sur leurs terres historiques.

Commençons bien, commencons fort, le cas Mathilde Mottet. Cette péronnelle, gonflée de sa propagande antiraciste (comprendre antiblanche) et de toutes les déconstructions de dégénérés que compte cette époque, s'affichait crânement l'année passée en brandissant son majeur du tertiaire (en effet, on la voit mal poser des briques, vu l'engin).

On se rappelle tout l'amour que mademoisselle Mottet a pour la terre de ses ancêtres...

Or, il est amusant, et un poil triste, de constater que Mlle Mottet, à étudier sa généalogie, semble être une Valaisanne pure souche depuis le XVIIème siècle, au minimum. Cocasse pour une internationaliste qui déteste son pays...

Continuons dans le merveilleux avec l'auto-proclammée « slut » (salope, ndlr), spécialiste des genres et représentante d'une vieille famille vaudoise de basse noblesse, j'ai nommé mademoiselle Coline de Senarclens. Son grand-père, qui a écrit un livre sur les huit-cents ans de la famille est même arrière-cousin de Charles III. On suppose qu'il était fier de sa petite-fille. Heureusement, ce bon Jean de Senarclens est mort sept ans avant la marche des salopes organisée entre autres par sa petite-fille...

« Les yeux, Chico, ils ne mentent jamais »

Cette brave Coline, connue principalement comme un des fers de lance de la Slutwalk (marche des salopes, ndlr) de Genève venait expliquer aux Romands, chez la très neutre RTS que si leurs enfants regardaient du porno, il fallait dédramatiser. Qu'attendre d'autre d'une disciple de John Money que de dédiaboliser le porno pour les enfants et de sacraliser les femmes faciles ?

Mais bon, difficile d'être une salope, nous dit sa page wikipédia, les vilains camarades de classe de Coline la traitaient en effet de « garage à bite » à l'école.

« Scolarité mouvementée », en effet.

Cette bonne Coline se rêve en Gavroche du cul alors qu'elle est une noble hédoniste

Il est néanmoins hilarant de constater que sa famille qui remonte au XIIè siècle a comme devise : « Sans décliner ». Ça se pose là...

Et il y en a encore beaucoup, de ces noms qui sonnent de vos coins et du mien. Les Gaillard, les Baume, les Romanens, les Clémence, les Piguet, etc.

De ces noms qui sentent le terroir Suisse et qui pourtant portent les idées mêmes qui poussent à notre disparition.

On a connu des suicidaires qui avaient au moins la décence de se tuer dans leur coin. À croire qu'il faudrait plus les rapprocher à des meurtiers, comme ces membres de famille qui sont si minables qu'ils tuent leurs proches avant de prendre la solution de facilité.

On parlera tantôt de leur propension à ne même pas en vouloir, de famille...

« Les civilisations meurent par suicide, non par meurtre. »

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