Cessons de vouloir que l'état veuille

«Cette lutte à mort nous rend joyeux»

Cessons de vouloir que l'état veuille

Après le résumé de l’intervention de Monsieur l’Abbé Raffray lors de notre première conférence, voici la deuxième partie sur Jean-Eudes Gannat. Fondateur de l’Alvarium, père de famille, militant et auteur, personne n’aurait pu mieux incarner l’homme qui est et qui agit dont nous avait parlé Monsieur l’Abbé. Dans sa présentation de l’Alvarium, il revient sur les victoires et les défaites de cette organisation communautaire, qui a été dissoute par Gérald Darmanin en novembre dernier.

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Contre la dépossession des Français

L’Alvarium a été fondé en 2017 à Angers à la suite du ras-le-bol de l’inefficacité et de la tiédeur de la politique face à la dépossession des Français à travers l’immigration et le pouvoir de l’argent. Pour Gannat, il s’agissait de «cesser de vouloir que l’état veuille» et de prendre les choses en main pour bâtir des communautés qui puissent faire face à l’état.

Jean-Eudes Gannat présente l’Alvarium lors de la conférence organisée par La Hallebarde

Pour faire cela, l’Alvarium a mis en place toute une série d’initiatives métapolitiques. Dans un local transformé en bar associatif, ils organisaient des conférences et des distributions de nourriture pour des foyers en difficulté. A côté de cela, l’organisation mettait à disposition des cours de sport et de gastronomie ainsi qu’une bibliothèque. Ils ont également occupé et rénové par leurs propres moyens un bâtiment pour y loger des SDF, dont un enfant.

Tout cela a bien sûr provoqué l’indignation de la gauche, qui ne supporte pas que la droite aide les défavorisés. À côté de la répression politique, l’Alvarium a dû faire face à des menaces, tentatives d’incendie et agressions, dont une à la batte de baseball pendant une distribution de nourriture. L’auteur de cette dernière s’en est tiré avec deux mois de sursis. Pour comparaison: le frère de Jean-Eudes Gannat a été condamné à 16 mois de prison pour avoir défendu le local contre une attaque d’antifas. Des tags sur les tombes de membres de la famille de certains militants et la dénonciation au travail font également partie du bestiaire d’actions utilisées contre l’Alvarium. Rien ne nous étonne plus.

Cette lutte à mort nous rend joyeux Photo: L’incorrect

Malgré ces représailles, l’Alvarium peut être fier de nombreuses victoires: par exemple l’empêchement de la transformation d’une vieille chapelle en «Levrette café» et la démission d’un maire socialiste qui aurait fait du chantage sexuel à des femmes migrantes (l’homme de gauche par excellence). Avec toutes ces bonnes œuvres, l’Alvarium, qui refuse «le folklore de droite» a toujours réussi à attirer des sympathisants de tous les milieux et à créer une véritable communauté.

Ce dont ils ont peur

Visiblement, l’Alvarium dérange beaucoup. Est-ce vraiment à cause des fameuses « haine et violence » comme nous l’indiquent les politiciens de gauche sans jamais citer un exemple concret? En vérité, ce ne sont pas les prétendues violences d’extrême droite qui leur font peur. Au fond d’eux, ils sont même contents que la droite freine la tiermondisation de l’Europe. Ce dont ils ont peur, c’est la perte de pouvoir. Ils savent très bien que la société antinaturelle qu’ils veulent absolument garder en vie n’a aucune chance contre le monde que nous proposent des organisations comme l’Alvarium. Alors ils misent sur le grand remplacement des Gaulois réfractaires par des immigrés manipulables, la confiance aveugle des boomers dans les médias et la passivité de cette droite qui n’a pas encore été agressée assez de fois dans la rue pour qu’elle juge nécessaire de se bouger. Voilà pourquoi Gannat et sa communauté font peur. Faisons nous aussi partie de cette jeunesse active, optimiste et prête à se sacrifier pour des idéaux immatériels, qui travaillent joyeusement à la construction de communautés qui peuvent faire face à la dégénérescence ambiante, au lieu d’attendre que l’État le fasse pour elle.

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