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C’est bientôt la semaine d’action contre le racisme, ça promet !

La Suisse dont ils rêvent, c’est-à-dire sans Suisses

Vous n’êtes pas encore assez déconstruit ? Vous avez du retard sur les dernières tendances en matière d’inclusivité ? Pas d’inquiétude ! La ville de Lausanne prend les choses en main directement sur votre lieu de travail avec sa semaine d’action contre le racisme, du 17 au 23 mars 2025. À cette occasion, les entrepreneurs lausannois sont chaleureusement invités à faire participer leurs employés à diverses activités.

*Lettre reçue par les entrepreneurs lausannois*

Et qui finance ce programme ? Vous, bien sûr ! Honnête contribuable, pilier du contrat social, c’est grâce à votre générosité que ces événements verront le jour. Quelle chance de pouvoir assister à une conférence sur le racisme au travail !

L’on pourrait croire que les élus de la Municipalité chôment ? Que nenni, entre deux soirées au Folklore, ils mettent la dernière touche à leurs brillantes initiatives. Emilie Moeschler, socialiste et accro notoire aux benzodiazépines, nous présente la dernière en date : le Bureau lausannois pour les immigrés. Une structure dirigée par Bashkim Iseni, qui se voit attribuer le titre prestigieux de délégué à l’intégration. Il s’agit certainement du cousin d’Arber Bullakaj, déjà connu de nos services pour avoir tenté de dévoyer l’obtention de la nationalité suisse.

*Bashkim Iseni, l'homme chargé de vous remplacer à vos frais*

Cet ayatollah de l’immigrationnisme serait un homme doté d’une grande expérience dans le domaine des migrations, quoi de plus normal étant donné qu’il fait le voyage au bled chaque été. C’est souvent galère à la frontière croate nous relaterait-il. De plus, il disposerait d’un large réseau dans les sphères académiques et associatives ; en d’autres termes il fournit la coke dans les soirées VIP.

Le ventre de la bête immonde est encore fécond et il semblerait que le dernier bastion où ses rejetons se tapissent encore est le monde du travail. Il est vrai que traquer les racistes à la Faculté des sciences sociales de l’UNIL ou au local d’injection du Vallon aurait été moins efficace.

*Allons chercher les racistes là où ils sont : à leur travail !*

D’ailleurs, l’action du Bureau ne s’arrête pas là ! Peut-être qu’un jour, Mamadou, après avoir obtenu son certificat B2 de français dans un cours financé par la collectivité, pourra prendre la relève d’un employé suisse maladroitement trop loquace devant la machine à café.

Mais ce n’est pas tout ! Profitant du réseau étendu de ce cher Bashkim, la ville a même commandé des affiches percutantes, probablement conçues par une agence de graphisme inclusif.

*De l'argent bien dépensé et qui fait vivre nos graphistes locaux*

Malheureusement pour le contribuable lausannois, ce Bureau n’est pas un cas isolé dans le paysage des politiques publiques de la ville. Il suffit de faire brièvement le tour de leur site internet pour s’apercevoir que d’autres idées saugrenues émanent des cerveaux malades des élus. Entre l’observatoire de la sécurité et des discriminations et le Plan stratégique de la politique municipale LGBTIQ+, il y a de quoi faire double quine au loto.

Si vous habitez Vugelles-la-Mothe et pensez que ces initiatives restent cantonnées aux bobos lausannois, détrompez-vous ! Le canton de Vaud n’est pas en reste. Il s’est doté d’un formidable outil : la permanence téléphonique du dispositif de prévention de la radicalisation et de l’extrémisme.

*Une permanence téléphonique, l'État de Vaud prendrait-il exemple sur la France ?*

Désormais, si vous évoquez lors du souper de boîte, après le verre de Chasselas de trop, le sujet du énième enturbanné qui confond un marché de Noël avec le Paris-Dakar, Magalie de la compta pourrait bien appeler pour signaler votre audace malvenue.

En effet, une équipe d’experts pluridisciplinaires, rémunérés avec soin, veille à identifier les sorties de route verbales et à répertorier les comportements suspects. Le Canton a même l’audace de préciser que la prévention des radicalisations fait partie des priorités de la présente législature. Je vous invite donc à ne pas hésiter à témoigner lorsque vous trouverez que la longueur de barbe du livreur Uber-Eats est un peu suspecte.

Camarades, devant cet État toujours plus intrusif, affûtez vos hallebardes !

Le Bureau des immigrés et sa semaine contre le racisme ? Afuera !