Davos: embrouille orientale entre Juifs et métèques non identifiés
Encore une fois, foutez-moi tout ça dehors
Lorsqu'elle n'est pas employée pour les conférences organisées par les globalistes du WEF, la station grisonne devient une espèce de désert oriental où des hommes au teint grisâtre s'affrontent pour des histoires dont chaque Suisse se fout.
Les faits sont survenus dans la nuit du jeudi 22 au vendredi 23 août. Cette nuit-là, un jeune touriste britannique de confession juive a été victime d'une agression. Peu après, la police municipale de Davos a intercepté deux suspects qui ont tenté, en vain, de se soustraire à un contrôle d'identité. La police cantonale est alors intervenue pour les arrêter.
Loin de moi l'idée frisant l'antisémitisme que cette agression serait une invention juive pour se victimiser et accroître la pression sur Davos afin d'en tirer des dommage et intérêts pour tord moral. Que dis-je, pour crime contre l'humanité. Tout de même, il s'agit de Shlomo.
Mis à part la parole de ce membre de la communauté qui ne se douche pas, a-t-on simplement une preuve matérielle de ce fait divers anecdotique ?
Car oui, les Juifs orthodoxes ont la phobie des douches.
Les deux hommes, dont la demande d'asile en Suisse a été refusée, séjournaient dans un centre d'hébergement situé dans la région. Agés de 24 et 29 ans, ils sont également soupçonnés d'avoir commis deux cambriolages durant la même nuit, indique la police grisonne jeudi.
Leur demande d'asile a été refusée, c'est la raison pour laquelle ils coulent des jours heureux dans les Grisons, cassant du Juif et perpétrant des cambriolages antisémites dans la joie et la bonne humeur.
Lors d'un point de presse, le ministre grison de la justice et de la sécurité, Peter Peyer (PS), a condamné l'agression. «Nous ne tolérons pas que des gens accueillis ici pour y séjourner attaquent d'autres personnes, que ce soit en raison de la religion ou de la couleur de peau», a-t-il dénoncé.
Même si les deux requérants d'asile sont venus en Suisse dans des circonstances difficiles, leur acte est inexcusable, a souligné le conseiller d'Etat. Pour lui, le motif antisémite de l'agression est «évident». Rien n'indique toutefois qu'il s'agit d'un acte terroriste.
Les « circonstances difficiles » ne peuvent plus être invoquées pour justifier une agression dès lors qu'elle est portée contre des Juifs. À l'inverse, les envahisseurs sont systématiquement excusés au titre de leurs souffrances psychologiques liées à leur périple lorsqu'ils s'en prennent à des autochtones.
De toute façon, ce conseiller d'État socialiste en est convaincu, ces sous-hommes sont clairement antisémites car ils n'auraient bien sûr jamais attaqué une personne sans qu'elle n'arbore au préalable kippa et papillotes sales.
Les deux suspects risquent une amende pour leur acte antisémite. Ils ont été relâchés entretemps par la police et doivent rester dans leur centre de renvoi.
C'est sûr, ces requérants vont s'acquitter de leur dû rubis sur l'ongle.
«Les conditions d'une mise en détention préventive ne sont pas remplies», a déclaré le ministre de la justice. Une mise en détention en vue d'une expulsion n'est pas non plus possible, car les deux hommes, dont la nationalité est peu claire, ne peuvent être expulsés actuellement, en l'absence de papiers d'identité.
Nous hébergeons donc sur notre territoire, à nos frais, des « requérants d'asile » dont personne ne sait quel pays pété ils ont fui et à cause duquel ils sont censés avoir été accueillis comme réfugiés.
Notre système fonctionne parfaitement bien. À tel point qu'il n'est même pas possible de les expulser, faute de savoir où les renvoyer.
Qu'on balance tout ce monde à Tel-Aviv. Les Juifs sauront certainement quoi faire de ces « apatrides ».