De la nécessité d'assumer être raciste

C’est même un devoir

De la nécessité d'assumer être raciste

Introduction

“Raciste !”. Vous qui lisez cet article fûtes très certainement déjà affublés de ce qualificatif au détour d’une conversation plus ou moins houleuse dans le but de vous faire taire.

Frappés d'anathème comme l’hérétique des précédents siècles, il se peut même que votre réflexe premier fût celui de vous en défendre et tenter ainsi d’éviter l’excommunication.

Pourtant, une des vertus du racisme est la volonté de puissance qu’elle induit chez celui qui s’en revendique. La fierté raciale est l’extension de la fierté individuelle, familiale et nationale.

Elle est un formidable élan de motivation à fonder des foyers et perpétuer sa génétique. Plus généralement, elle indique la pulsion de vie qui anime un individu, un peuple. Alors, pourquoi s’en distancer ?

Historique

Pour accréditer l’idéologie contre-nature de l’égalitarisme imposée par les démocrates et les communistes, vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale, les institutions internationales nouvellement créées produisirent quantité de documentation théologique pour affirmer que les races n’existaient pas, que la lutte des races comme moteur de l’existence n’était qu’un mythe sacrilège entretenu par les vils promoteurs de l’inégalité.

Il en résulte que les normies perçoivent aujourd’hui le mot “raciste” comme une étiquette censée décrire un personnage emplit de malveillance à l’égard de tout individu un tant soit peu différent, d’une irrationalité confondante face aux preuves scientifiques de l’inanité de telles théories haineuses et rétrogrades.

Si le racisme est aussi violemment combattu, c’est parce qu’il met en lumière, sur le plan biologique, l’inégalité non pas uniquement individuelle mais collective. Cette inégalité, loi naturelle pourtant inhérente au monde du vivant, qu’il soit végétal ou animal, seul l’homme moderne ayant fait sienne la religion de l’égalité s’imagine qu’il est le seul à y échapper. La reconnaissance de cette immuable vérité distingue fondamentalement un homme de droite d’un homme de gauche.

Tout militant qui s’identifie à l’extrême droite du champ démocratique qui nie être raciste n’est qu’un gauchiste qui s’ignore. Ces semi-droitards dépenseront une énergie folle à se défendre de tout sentiment raciste et passeront, in fine, pour des faibles devant un public bien trop habitué à ce genre de scènes pathétiques.

Philosophie

Le racisme est en soi dénué de quelconque affect, il n’est que la reconnaissance de l’altérité dans l’autre, l’apologie de la diversité dans la nature et l’acceptation d'un Ordre voulant que chaque peuple dispose d’une terre et en soit le maître.

En ce sens, le racisme est davantage l’affirmation d’un ethno-différentialisme qui s’oppose au suprémacisme et au darwinisme social voulant que le plus fort ait le droit absolu sur le plus faible, qui implique une supériorité et une infériorité ontologique entre les races.

D’après cette logique, nous devrions reconnaître que le laisser-faire général des Européens face à l’invasion de leur territoire couplé à leur suicide démographique par absence d’enfantement font d’eux les perdants de l’Histoire.

Évidemment, il existe des explications quant à cette apathie mortifère qui rendraient cet article bien trop long.

Nous, racistes, devons refuser cette mentalité matérialiste binaire “gagnant-perdant” et adopter une vision métaphysique respectueuse de cet Ordre mentionné précédemment.

Nous ne souhaitons aucunement l’éradication de populations, aussi insupportables nous paraissent-elles. Nous sommes bien trop respectueux de la diversité pour choisir de la détruire sous prétexte d’avoir hérité d’un plus gros QI, fruit d’une évolution sous des latitudes autrement plus exigeantes pour la survie de nos ancêtres.

C’est justement la coexistence avec ces peuplades aussi différentes dans un même espace qui génère autant de frictions.

Conclusion

À vouloir forcer l’incompatible pour des raisons aussi bien financières qu’idéologiques, nos élites corrompues créent le terreau favorable à la guerre civile raciale.

Ce scénario catastrophique, duquel nous ressortirions toutefois vainqueur, est à éviter par tous les moyens possibles et la remigration est sans aucune discussion la meilleure des solutions.

Dans un contexte démocratique, la réalisation de cet objectif impérieux n’est possible que si la majorité approuve et pour cela, le verrou mental de la peur de l’ostracisation doit sauter.

Nous devons donc nous réapproprier ce mot, le porter en étendard comme une fierté, se sentir appartenir au camp de ceux qui savent qu’ils ont raison face à la masse sous influence médiatique.

Se dire raciste doit devenir notre seconde nature et notre devoir est d’éduquer notre entourage sur la question raciale.

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