Deal de rue : les villes vaudoises chialent dans les jupes du canton
Quand les bobos se prennent les sandalettes dans les seringues
Les villes de Lausanne, Vevey et Yverdon-les-Seringues ne savent plus quoi faire de leurs commerçants urbains nigérians.
Les Villes de Lausanne, Vevey et Yverdon-les-Bains sont dépassées par le phénomène du deal de rue et de la consommation de drogue dans l'espace public. Elles l'ont avoué elles-mêmes, qualifiant la situation «à bien des égards hors de contrôle», dans une lettre adressée, jeudi, au Conseil d'État.
Après des années d'inaction politique, les villes les plus gauchistes du canton se sont enfin décidées à admettre le fléau que représente le deal et les toxicomanes de rue. Le ras-le-bol des habitants est devenu tel que les municipalités ne peuvent plus cacher la bouse africaine sous le tapis.
À travers celle-ci, les syndics déplorent notamment que «le deal de produits stupéfiants n’est manifestement plus une priorité des différents acteurs et actrices de la chaîne pénale». Ils réclament donc la tenue d’assises de la chaîne pénale - en quelque sorte des tables rondes impliquant différents acteurs impliqués.
Puisqu'il fallait bien trouver une excuse à leur incompétence, les syndics ont profité de mettre ça sur le dos de la justice. Ce qui n'est évidemment pas faux.
Tout le monde sait qu'un dealer nigérian sans papier qui est arrêté par la police est aussitôt relâché, faute de moyens mis en place par la justice pour le renvoyer dans sa savane.
Cependant, il est tout à fait possible de prendre des mesures à l'échelle communale afin de rendre la vie dure à toute cette vermine, comme a su le faire la ville de Lausanne, par exemple.
Quant aux habitants de ces villes maudites qui se plaignent de cette situation, permettez-moi de vous rappeler pour qui vous avez voté l'année passée.
Inutile de préciser que les municipalités de ces villes sont composées presque uniquement de Verts et de socialistes.
Laissons tous ces bobos dans leur merde citadine et défendons nos campagnes.