Deal de rue : les villes vaudoises chialent dans les jupes du canton

Quand les bobos se prennent les sandalettes dans les seringues

Deal de rue : les villes vaudoises chialent dans les jupes du canton

Les villes de Lausanne, Vevey et Yverdon-les-Seringues ne savent plus quoi faire de leurs commerçants urbains nigérians.

Drogue: Lausanne, Vevey et Yverdon appellent le Canton à l’aide
Les trois Villes peinent de plus en plus à lutter contre le deal de rue. Elles réclament que le Canton s’investisse davantage.
Les Villes de Lausanne, Vevey et Yverdon-les-Bains sont dépassées par le phénomène du deal de rue et de la consommation de drogue dans l'espace public. Elles l'ont avoué elles-mêmes, qualifiant la situation «à bien des égards hors de contrôle», dans une lettre adressée, jeudi, au Conseil d'État.

Après des années d'inaction politique, les villes les plus gauchistes du canton se sont enfin décidées à admettre le fléau que représente le deal et les toxicomanes de rue. Le ras-le-bol des habitants est devenu tel que les municipalités ne peuvent plus cacher la bouse africaine sous le tapis.

À travers celle-ci, les syndics déplorent notamment que «le deal de produits stupéfiants n’est manifestement plus une priorité des différents acteurs et actrices de la chaîne pénale». Ils réclament donc la tenue d’assises de la chaîne pénale - en quelque sorte des tables rondes impliquant différents acteurs impliqués.

Puisqu'il fallait bien trouver une excuse à leur incompétence, les syndics ont profité de mettre ça sur le dos de la justice. Ce qui n'est évidemment pas faux.

Tout le monde sait qu'un dealer nigérian sans papier qui est arrêté par la police est aussitôt relâché, faute de moyens mis en place par la justice pour le renvoyer dans sa savane.

Cependant, il est tout à fait possible de prendre des mesures à l'échelle communale afin de rendre la vie dure à toute cette vermine, comme a su le faire la ville de Lausanne, par exemple.

Ouverture lundi du nouveau local d’injection de la Riponne
Le nouveau local d’injection de la Riponne, le deuxième à Lausanne destiné aux toxicomanes, ouvre lundi. Projet-pilote qui sera évalué après une année, cet espace est destiné aux personnes se trouvant dans l’urgence de consommer. Il dispose de 17 places et pourrait accueillir plus de 100 personnes par jour.

"Rendre la vie dure aux toxicomanes" version socialiste

Quant aux habitants de ces villes maudites qui se plaignent de cette situation, permettez-moi de vous rappeler pour qui vous avez voté l'année passée.

Inutile de préciser que les municipalités de ces villes sont composées presque uniquement de Verts et de socialistes.

Laissons tous ces bobos dans leur merde citadine et défendons nos campagnes.

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