Des nouvelles du centre sidaïque bernois
Municipalité et antifas main dans la main, épisode II
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Connaissez-vous la Reitschule à Berne ? Elle est comparable à l'Espace Autogéré à Lausanne, d'une taille bien supérieure, cependant.
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Notre article sur l'Espace Autogerbé
Ce centre altérnatif abrite un mélange de toxicos, de punks à chiens, d'étudiants, et de toute sorte de militants de gauche depuis 1987, date à laquelle la ville leur a fait don de ce clapier.
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Ce taudis est gavé de subventions publiques depuis des années. Le montant des dépenses se compte en plusieurs millions de francs.
L'UDC a tenté à plusieurs reprises de faire voter sa destruction, mais il a été sauvé par les habitants naïfs à chaque fois.
Des incidents nécessitant l'intervention de la police éclatent régulièrement autour de la Reitschule, également connu pour être un lieu de traffic de drogue de la ville.
À la suite d'une énième altercation dont l'un des protagonistes a fini avec le doigt coupé à la machette, le centre a fermé ses portes en début d'année pour une durée de deux semaines.
Plutôt que d'ordonner l'envoi de panzers afin de raser ce bidonville, la municipalité gauchiste a privilégié un dialogue constructif entre les gérants crasseux de cette cahute et les toutous de la police cantonale.
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La ville de Berne verse donc des millions de subventions à des associations d'extrême gauche qui leur chient ouvertement à la gueule et qui s'en prennent à la police lorsque celle-ci tente de gérer le merdier qui règne à l'intérieur de cette zone de non droit, et dont la seule réponse qu'elle a à offrir est un dialogue de conciliation.
Il ne faudrait tout de même pas brusquer les nombreux électeurs de la maire socialiste qui passent leur samedi soir à avaler des pilules d'ecstasy et des canettes tièdes en écoutant de la psytrance dans ce centre sidaïque.