Des nouvelles du média populaire romand
Le commencement d’une ère nouvelle
Chers lecteurs,
Après une année d’absence forcée, nous sommes fiers de vous annoncer le grand retour de La Hallebarde. Vous avez été nombreux à vous inquiéter de ce silence et nous vous en remercions chaleureusement.
Comme vous pouvez le constater, le site a fait peau neuve, passant à une version sombre et incluant dorénavant une fonction de recherche. L’hébergement a déménagé sous d’autres latitudes car il est malheureusement devenu indispensable de quitter la dictature antiblanche dans laquelle s’enlise l’ensemble de l’Europe jour après jour. Cette mesure permettra également de protéger la nouvelle équipe en charge du média, les membres précédents ayant tous décidé de se consacrer à d'autres activités. Nous tenons à les remercier pour l'ensemble du travail accompli jusqu'ici qui a permis à La Hallebarde de s'imposer comme média alternatif sur la scène médiatique romande.
Un nouveau départ s’opère dès aujourd’hui, faites passer le message autour de vous et surtout, soutenez-nous! Soyez les acteurs de cette épopée, rien n’est possible sans un minimum de moyens financiers. N’hésitez pas à nous rejoindre et à interagir avec nous sur nos différents réseaux sociaux.
Des persécutions judiciaires
Voici maintenant le récit de la tempête qu’a traversée le média au cours de ces derniers mois.
En mars 2023, les responsables du site ont scandaleusement fait les frais de la justice partiale, voyant leurs domiciles perquisitionnés, leurs armes, matériel informatique et téléphones portables placés sous séquestre, et pour couronner le tout, menottés tels de vulgaires criminels. D’autres rédacteurs ont également été dans l’œil du cyclone, tout cela pour des blagues sur internet. Et il faut bien le dire, une certaine tendance à vouloir insuffler un sentiment communautaire à nos lecteurs. Nous en étions conscients mais aujourd’hui en sommes convaincus par expérience, la liberté dans cette démocratie égalitaire meurt là où naissent les intérêts des Blancs. Cette réalité est la même partout en Occident, la Suisse ne fait malheureusement pas exception.
Il y a très exactement sept articles qui ont fortement déplu à quelques tristes individus très certainement rongés par la dépression:
Un pour avoir fait un trait d’humour sur la pâleur de peau d’une journaliste quarantenaire gauchiste jusqu’à l’oignon. Il faut dire que son teint est particulièrement blafard, à tel point qu’elle ferait passer une Valkyrie pour une Nubienne. Lorsqu’elle et son employeur nous intimèrent l’ordre de retirer l’article sous peine de plainte, nous le fîmes sans broncher, ce qui pourtant ne les empêcha pas d‘intenter une action à notre encontre, allant même jusqu’à nous mendier quelques shekel pour tort moral. Ces crève-la-dalle n’ont honte de rien, eux qui nous causent du tort chaque jour que Dieu fait par la quantité d’insanités égalitaristes qu’ils publient.
Les six autres dénonciations sont le fait d’associations LGBT pour soi-disant «diffusion d’idéologie homophobe», voire carrément «appel à la haine contre des personnes en raison de leur orientation sexuelle». Ce lobby qui n’existe pas n’apprécie guère notre insoumission à leur tyrannie idéologique ainsi que notre détermination à défendre l’intégrité des enfants face à la prédation de pédophiles infiltrés dans ces associations, cachés derrière le masque abject de la tolérance.
Bref, les plaignants jugèrent nos styles assez peu à leur goût, pas très politiquement correct en somme.
Que le ton employé sur La Hallebarde puisse choquer, nul n’en doute un instant vu la fragilité générale régnante. Pour autant, faire preuve d’esprit critique, même de façon acerbe, doit-il systématiquement vous mener devant le procureur? Question rhétorique.
D’ailleurs, parlons-en du procureur en charge de cette affaire. Ce type fût l’assistant parlementaire du député socialiste qui déposa l’initiative d’extension de la norme pénale antiraciste à la lutte contre les discriminations basées sur l’orientation sexuelle. De plus, il occupa cette position précisément au moment même où cette campagne contre la liberté d’expression faisait rage. Sans donner trop d’infos, nous dirons simplement que le politicien en question est un homme très probablement bisexuel arborant un atroce piercing à l’arcade.
Quel ne fût pas notre étonnement à la découverte de cet énorme conflit d’intérêts, ce manque cruel de neutralité dans ce dossier, à tel point qu’une procédure de récusation à l’encontre du procureur fût intentée, invoquant sa partialité ainsi que son passé de militant socialiste. Malgré ces faits, le Tribunal cantonal jugea que ces éléments n'étaient pas de nature à justifier une telle procédure, estimant que le procureur était parfaitement capable de s’extraire de son prisme idéologique pour traiter ce cas. Jugez par vous-même de cette objectivité naturelle dont se parent les institutions judiciaires de cette Confédération bananière.
Comme indiqué par la journalope dans son article sur son merdia, les condamnations ont été lourdes pour l'ancienne équipe en charge de La Hallebarde. Dès lors, nous vous implorons de les soutenir financièrement afin de leur démontrer que leur travail n’aura pas été vain. Les dons reçus à partir d'aujourd'hui jusqu'au 7 avril leur seront reversés pour alléger leurs frais juridiques qui totalisent des dizaines de milliers de francs.
Le mot de la fin
La liberté d’expression s’éteint à mesure que l’inclusivité et l’égalité gagnent notre société démocratique droit-de-l’hommiste. Mais sachez chers lecteurs que nous n’abandonnerons jamais le combat. Lorsqu’un de nos camarades tombe, un autre se lève pour poursuivre cette mission de réveil des masses qui nous dépasse. Ils peuvent tenter de faire taire un opposant, jamais ils ne parviendront à étouffer la voix que nous portons.
Car c’est notre communauté que nous défendons. Honorons l’abnégation dont ont fait preuve nos prédécesseurs dans cette lutte pour la survie de la race européenne en Romandie. Persécutez tant que vous voudrez, jamais personne ne parviendra à détruire l’instinct de survie de l’avant-garde de notre peuple.
Le sang, la terre et l'honneur.