Référendum contre l'Eurovision à Bâle : le Blick brille par ses pronostics
Des pronostics à faire trembler les parieurs sportif
Comme vous le savez déjà, la ville de Bâle a été choisie pour accueillir le concours sataniste LGBTQP de l'Eurovision 2025.
Le parti évangéliste UDF a lancé un référendum pour s'opposer au crédit de 37,5 millions de francs accordé par le Parlement cantonal bâlois pour financer l'organisation de cette orgie.
Une journalope du Blick s'était alors moquée de l'initiative et avait annoncé que le référendum ferait un gros flop.
Quelques semaines plus tard, les résultats semblent quelque peu différents de ceux prédits par ce visionnaire.
Le texte a recueilli 4203 signatures, selon l'UDF, et 3912 ont été déclarées valables, alors qu'il en fallait 2000 pour qu'il aboutisse, a fait savoir la Chancellerie d'Etat.
Plus du double de signatures, on peut dire que notre confrère a du flair.
Si les citoyens bâlois devaient voter contre la contribution financière de la ville, l'ESC devrait être fortement redimensionné, a déclaré le porte-parole de la SSR Edi Estermann. "L'événement serait réduit à un grand show télévisé le samedi soir, sans événements annexes, et donc bien sûr avec une création de valeur bien moindre pour la ville."
Cette fête démoniaque pourrait être réduite à un passage à l'antenne uniquement. Mais j'ai malheureusement peu d'espoir dans le vote des habitants du canton de Bâle-Ville. Ceux-ci étant majoritairement des gauchistes.
Le 11 septembre, le Grand Conseil bâlois avait approuvé le crédit proposé par le gouvernement à une large majorité de 87 voix contre 4 et 4 abstentions.
L'UDF a dû faire cavalier seul, l'UDC ayant soutenu le crédit à l'ESC. L'UDF, peu présente à Bâle-Ville, a dû compter sur l'extérieur du canton pour la collecte des signatures.
Forcé de constater que l'aile gay-friendly de l'UDC a une nouvelle fois renoncé à ses valeurs conservatrices en soutenant le crédit à ce concours de dégénérés.
Il faut saluer l'effort de l'UDF, qui est finalement le seul parti qui s'active afin de gâcher cet événement centré autour de l'anus et de Satan.