Genève admet son rôle moteur dans la traite transatlantique

Tout le monde sait d'où cette ville tire sa richesse

Genève admet son rôle moteur dans la traite transatlantique

Grâce aux connaissances historiques accumulées jusqu'en 2024, nous avons la preuve que la puissance du port maritime de Genève et son vaste accès aux océans furent les pierres angulaires de la traite négrière internationale.

Tdg.ch

La mémoire de l’esclavage et en particulier le rôle de Genève dans la traite transatlantique sera mis en avant à travers une œuvre d’art en ville, annonce jeudi le Conseil administratif. Il affirme sa volonté d’assumer un travail de mémoire et de transparence sur le sujet.

Ce projet répond à une demande populaire, ainsi qu’à plusieurs démarches entreprises par des associations luttant contre le racisme antinoir. Il sera coordonné par le Service culturel et le Service Agenda 21, qui mettra en place un concours artistique, dont les modalités seront annoncées par la suite.

J'aimerais beaucoup voir la gueule de la « demande populaire ».

Le conseil d’administration a reçu plusieurs sollicitations concernant des victimes de persécutions liées à leur engagement pour les droits humains. Les cas de la Chinoise Cao Shunli et de l’Iranienne Mahsa Amini en font notamment partie. La Ville a décidé d’édifier un monument commun, qui «pourra commémorer l’existence et l’action de ces personnes dont l’engagement pour les droits humains doit être souligné et salué».

La Hallebarde soutient bien évidemment ce projet d'importance nationale et propose une œuvre architecturale à la hauteur de cette noble cause :

Gloire à l'antiracisme
Parallèlement à cela, la Ville annonce également vouloir mettre en place un plan d’action répondant aux enjeux que posent les hommages rendus dans l’espace public à des personnalités ayant encouragé le racisme et le colonialisme. Il sera présenté le 6 mai prochain.

Tout ce qui eut trait au commerce de l'esclavage par des personnalités suisses se cantonnait à la détention d'actions dans des sociétés recourant à des esclaves. Si l'on devait faire un parallèle avec l'époque actuelle, un actionnaire de Nike pourrait être accusé d'esclavagisme pour avoir investi dans une entreprise qui exploite des enfants.

De même, combien de ces activistes contre le racisme antinoir ont un smartphone dont les batteries furent produites avec du cobalt extrait dans les mines du Congo où 40'000 enfants travailleraient dans des conditions désastreuses ? Que d'hypocrisie pour masquer leur haine antiblanche.

Pour aller plus loin sur le sujet de l'esclavage, nous vous recommandons d'écouter l'excellent podcast de feu Serge de Beketch.

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