Genève : l'Usine se prend un retour de boomerang en pleine gueule

L'atroce centre culturel alternatif genevois l'Usine, dancefloor préféré des antifas au visage rongé par la consommation d'acide, doit fermer temporairement ses portes à cause de l'agressivité de la faune exotique avoisinante.

A Genève, fermeture temporaire de l’Usine après deux agressions à la machette

Le centre culturel alternatif genevois l’Usine a fermé ses portes après deux violentes agressions survenues vendredi soir dans son quartier. Deux hommes ont été blessés à la machette.

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L’Usine, espace culturel alternatif genevois, a annoncé la fermeture de ses portes "en raison de l’aggravation de la situation dans le quartier" de la Jonction. Vendredi soir, deux agressions à la machette ont eu lieu à proximité du bâtiment.

La police est intervenue une première fois à 23H00, puis à nouveau peu avant 3H00 du matin. Plusieurs protagonistes ont pris la fuite. Les deux victimes, d’origine nigériane, ont été conduites aux urgences: leurs jours ne sont pas en danger. Selon les informations de la RTS, elles seraient impliquées dans du trafic de stupéfiants.

Des babouins d'origine nigériane se sont donc affrontés à coups de machette pour savoir lequel allait pouvoir écouler son stock auprès des nombreux consommateurs de drogues dures qui fréquentent ce clapier.

Vie nocturne à Genève: Une nuit de violence place des Volontaires force l’Usine à fermer ses portes

Deux agressions à proximité du lieu culturel la nuit précédente ont conduit le collectif à annuler une grande soirée techno samedi soir, par précaution.

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Sur Instagram, le Zoo s’est adressé à sa communauté: «C’est avec le cœur lourd qu’on vous annonce cette fermeture exceptionnelle de dernière minute…» Le collectif explique avoir pris cette décision «pour notre propre sécurité, et pour la vôtre avant tout».

Ces pauvres petits gauchistes ne se sentent plus en sécurité et se retrouvent pris au milieu des singeries d'envahisseurs du tiers-monde qu'ils s'éreintent pourtant à vouloir faire venir par millions sur notre continent.

C'est sans doute grâce aux interventions de la police qu'un de ces phasmes ne s'est pas retrouvé avec un bras découpé à la machette.

Violences policières en Suisse: une réforme suffira-t-elle?

Pour sa nouvelle chronique, Mathilde Mottet, l’ex-coprésidente des Femmes socialistes suisses, revient sur cinq raisons pour lesquelles, selon elle, une réforme de la police ne serait pas suffisante après les événements qui ont secoué Lausanne en cette fin août.

BlickMathilde Mottet

Ces mêmes mollusques qui militent pour la suppression de la police sont en réalité ceux qui en ont le plus besoin. Car ce n'est certainement pas ceux de notre camp qui finiront découpés en rondelle dans une marmite pour la soupe nigériane.

À vrai dire, peut-être devrions-nous les suivre dans leur projet, et laisser opérer la sélection naturelle ?