Genève refuse d'interdire aux travelos de pervertir les gosses
Questionner le genre des enfants est un devoir démocratique

Les pédophiles ont pignon sur rue dans la cité de Calvin.
Quand la “wokisation” n’est plus un débat mais une politique assumée : autoriser des drag-queens à lire à des enfants, c’est franchir une ligne.
— David-Peter LE (@David_Peter_LE) September 27, 2025
Qui décide, ce n’est pas à l’état de décider pour nos enfants #Woke #Liberté #ResponsabilitéParentalehttps://t.co/TewAkhxU3O
L'écrasante majorité des commentaires sont univoques. Les lecteurs de la Tribune de Genève exigent une Aktion T4 en bonne et due forme contre ces malades mentaux qui bavent devant des mômes horrifiés par ces créatures infernales.
Sans surprise, tous les partis de gauche ont votés pour. Lors de la séance, il a tout de même été fort justement rappelé par Marc Falquet (UDC) que cette dégénérescence laissait le champ libre à tous les désaxés pour sexualiser les enfants dès l'âge de 8 ans et ainsi faire d'eux de futurs esclaves sexuels programmés pour satisfaire l'ignominie de ces êtres infâmes qui se regroupent sous l'acronyme LGBT.
À l'exception de quelques parents aussi aliénés qu'un partisan communiste, personne ne veut de ces tarés dépravés, encore moins dans le périmètre d'une école ou le milieu éducatif sous quelque forme que ce soit.

La Tribune de Genève est particulièrement adepte de tout ce qui touche de près ou de loin à l'anus. D'ailleurs, l'une de ses journalistes, la grosse lesbienne d'Alain Soral, fut la première rédactrice en cheffe du magazine sidaïque « 360° ».

Retour sur l'article qui en faisait l'éloge à l'occasion de son dernier numéro papier paru le 30 novembre 2023.
La presse papier est dans de bien sales draps. Oui, madame. Les annonceurs filent vers les réseaux sociaux, entraînant l’effondrement des rentrées publicitaires. Tandis que les coûts de production grimpent inexorablement. Dernière victime de cet étau économique: le magazine «360°», unique titre queer de Suisse romande, qui tire la prise après 228 numéros foufous et vingt-cinq ans d’activité.
Un seul titre, c'était déjà de trop. L'impitoyable loi du marché a cette fois été en faveur de l'hétéronormativité toxique. En conséquence, le marché devrait être poursuivi pour homophobie.
«Le titre était dans une situation précaire depuis quelque temps déjà», explique le rédacteur en chef Robin Corminboeuf. «Notre modèle économique date de 1998. La pub nous finance à 97%, les abonnements de soutien demeurent marginaux. Sans doute n’avons-nous pas su négocier un virage vers le numérique.»
Le rédacteur en chef avoue ici ce que tout le monde savait déjà : personne ne lit cette littérature pour trithérapiques. Pour continuer d'inonder les kiosques de ses recommandations sur les meilleures clubs à fist romands, ce magazine avait besoin du soutien actif des milieux économiques.

Mais non, il n'existe aucune solidarité centrée autour de la rondelle, théorie complotiste de l'extrême droite haineuse.
Ce naufrage sonne le glas d’une belle aventure éditoriale. Voire d’une belle aventure tout court. Au crépuscule des années 90, dans un joyeux squat genevois nommé Chez Brigitte, naît l’association «360°», dont l’enseigne claironne clairement l’ambition panoramique. Le groupe affiche trois casquettes – éditoriale, sociale et festive – et la volonté de fédérer les diverses populations queers romandes.
Ce naufrage sonne surtout le glas d'une belle aventure anale, aventure consistant à vouloir regrouper les différentes factions inverties pour organiser des orgies encore plus dantesques, véritables messes noires où le foutre et la came coulent à flot.
Au début de l’été 1998 déboule donc en kiosque le premier numéro du magazine, alors trimestriel. Avec une hélice arc-en-ciel en couverture. Nul n’a jamais feuilleté rien de tel sous nos cieux. Entre papiers de fond, enquêtes sociétales, délires rigolos, mode, charme et culture pointue, le nouveau-né homo dans la presse romande fait montre d’une pétillante singularité. Il y a l’horoscope sexy-dingo de Snoopy Argenté «envoyé spécial dans les astres», les petites annonces explicites et un carnet d’adresses gay-friendly.
Tout simplement dégueulasse.
Loin du fanzine bricolé, la revue arbore d’emblée un look chic et un ton affirmé. Il faut dire que deux pros de la presse, nos consœurs Cathy Macherel et Ester Paredes, ont injecté leur savoir dans le projet. Les années passent. Les mentalités évoluent. «360°» change de format, d’adresse, de distribution, d’équipe rédactionnelle. Mais le propos et la différence demeurent, la flamme itou. Jusqu’à ce que la conjoncture économique et l’ouragan numérique jouent les fossoyeurs.
En réalité, la conjoncture économique à bon dos. Même les personnes concernées n'accordaient pas la moindre importance à ce papelard sous perfusion publicitaire, c'est dire à quel point les articles devaient être de qualité.

L’arrêt du magazine entraîne la suppression de trois postes et affecte une vingtaine de collaborateurs. Notez que le site 360.ch, qui abrite les archives du titre, reste en ligne, avec l’agenda regroupant les fêtes et événements LGBT. Demeurent également les pôles festif et social de l’association. «On n’a jamais eu le monopole de la presse queer», conclut Robin Corminboeuf. «Et on adorerait voir un autre projet éclore, piloté par des gens plus jeunes.» Une chose de sûre: dans le climat actuel de rétropédalage conservateur, la voix de «360°» va manquer.
Si seulement nous pouvions bénéficier des mêmes sommes d'argent que devait toucher la rédaction pour entretenir tout ce petit monde, nous pourrions réaliser des choses dont vous n'avez même pas idée. Le climat actuel ne serait pas au « rétropédalage conservateur », mais à la révolution, je vous le garantis.
Je le dis et le répète, à La Hallebarde, nous sommes vos premiers protecteurs, vous membres de la communauté queer. Nous vous avertissons encore, cessez votre activisme au plus vite. La gronde populaire monte et lorsqu'elle devra se déchaîner, croyez-bien que vous serez parmi les premiers, avec les Juifs, à faire office de victimes sacrificielles.