Guerre intergénérationnelle: les vieux veulent nous séquestrer
C'est pour votre bien
Le 19 décembre dernier, les grands reporters du Blick ont sorti un sondage sur les mesures liberticides pour lutter contre le fléau de Belzébuth. Voici le graphique principal qui en ressort:
En dépit du fait que les 15-29 ans ne risquent quasiment rien, ils sont en majorité pour la vaccination obligatoire (52%). Sans même remettre en doute l’intégrité de ce sondage, cela n’a rien d’étonnant qu’ils soient prêts à prendre des mesures radicales si ça peut leur permettre de vivre une jeunesse qui ressemble plus ou moins à celle que leurs aînés ont pu avoir (hormis les masques et les restrictions, on s’entend). Dans le tas, vous avez aussi tous ces jeunes dynamiques qui ont vu la Lumière, frappés par la révélation scientiste. La SSIENSSE, nouvelle religion d’État, la seule dont les canons changent du tout au tout en permanence au gré de ses prophètes en blouses blanches et de l’agenda globaliste.
Évidemment, quand l’alternative à ces restrictions est le confinement, les masses acceptent de se soumettre à
l’option la moins mauvaise pour elles, trop amorphes pour se révolter contre ces oppressions systémiques qui là, pour le coup, sont bien réelles.
Mais visiblement, les boomers, noyés sous des rentes et des capitaux qui ne cessent de s’accumuler au détriment des jeunes actifs, ne veulent pas que leurs petits-enfants jouissent comme ils ont pu le faire lors des Trentes Glorieuses à des degrés d’hédonisme qu’aucune autre génération n’a connu et ne connaîtra sans doute jamais plus dans l’histoire de l’humanité. Ils sont 81% à exiger une société de contrôle qui n’est, dans les faits, plus très éloignée du traditionnel épouvantail dictatorial qu’est le crédit social chinois et 62% à vouloir faire entrer de force l’ensemble de la population dans ce cycle d’injection a minima semestriel, jusqu’à quand on ne sait pas, et ce à partir de 5 ans.
Tout cela parce qu’ils sont hantés par la vision de la grande faucheuse covidienne tranchant les câbles de respirateurs artificiels. Et il y a ceux qui veulent à tout prix profiter de leur retraite jusqu’à 107 ans et aller faire leur énième croisière, loin de tous ces égoïstes doublés d’assassins qui ne veulent pas prendre le risque, aussi faible soit-il, d’avoir des effets secondaires post-vaccinaux à intervalles réguliers. Retraite que n’auront d’ailleurs jamais tous ces jeunes dont le présent est sacrifié pour maintenir les hôpitaux à flot paraît-il. D’ailleurs, parlons-en de cette saturation.
Selon un autre article de Rts.ch, les personnes qui engorgent les services de réanimation font, sans surprise, partie des couches âgées de la population (admissions liées au Covid entre le 11.10.21 et le 12.12.21):
Le pigiste y fait un pilpoul pour expliquer que ces données doivent être ramenées aux populations concernées et blah blah… Soit, pour les personnes fragiles, le vaccin est efficace contre les formes graves. On connaît la chanson. Toujours est-il que par rapport à l’occupation des lits, les plus de 60 ans se partagent l’encombrement des hôpitaux à parts égales entre vaccinés et non vaccinés, ce qui n’empêche pas les premiers d’être à 67% favorable au confinement des seconds. Un fait intéressant qui n’est pas indiqué dans l’article de la RTS, c’est l’état de santé des hospitalisés avant leur entrée aux soins intensifs. Les sbires d’Anne Lévy nous en disent plus à ce sujet.
Rapport hebdomadaire de l’OFSP
Commençons par la donnée la plus flagrante. En dessous de 18 ans, 75% des hospitalisés n’ont aucune comorbidité. Ce qui représente grosso modo, sur une période de deux mois, le chiffre exorbitant de 45 personnes. Pour les 18-64 ans, le pourcentage des patients n’ayant aucune maladie chute à 35%. Gageons que ce chiffre est tiré vers le haut par la partie basse de cette fourchette étonnement large. Les plus de 65 ans qui occupent des lits et ne souffrent d’aucun souci de santé particulier ne représentent pour ainsi dire rien d’un point de vue statistique. Entre autres joyeusetés, ils ont principalement, dans l’ordre, de l’hypertension, des maladies cardiovasculaires ou du diabète. Les moins bien lotis en cumulent même plusieurs.
Nous pouvons donc en conclure que la vaccination pour tous ne changera strictement rien à la surcharge hospitalière. Que l’on soit vacciné ou pas, l’écrasante majorité des hospitalisés est tous atteinte de comorbidités. Cette réalité ne changera pas en piquant l’ensemble de la population, sans faire de distinction avec les gens en bonne santé qui vivront la maladie comme une grosse grippe ou comme asymptomatiques. Ce qu’il faut prévoir à terme, c’est d’investir dans la formation de personnel médical et traiter les gens à risques avant qu’ils ne finissent à l’hosto. Mais en tout premier lieu, virer tous les journalistes qui terrorisent la population quotidiennement sur cette hallucination collective que l’on nomme abusivement « pandémie ».
Notre liberté se réduit à mesure que les mois passent, les problèmes psychologiques dus au stress et à l’anxiété explosent et il faudrait encore injecter massivement les gosses pour abaisser relativement la probabilité que des vieillards en mauvaise santé finissent aux urgences et ne puissent pas partir en vacances?
Qu’on leur postillonne au visage à pleins poumons ! Nous en arrivons gentiment aux moyens durs de coercition, j’en profite donc pour amener ma pierre à l’édifice et propose la stratégie suivante : confinement total des boomers avec barricades cloutées, Pfizer en intraveineuse et foutre en l’air toutes ces mesures bolcheviques que nous subissons depuis maintenant deux ans. Bref, sachez apprécier le paroxysme de l’humanisme hypocrite dont se targuent les membres coupables de cette génération maudite qui a une responsabilité collective accablante sur la mise en place de cette dystopie. Ce coup de poignard dans le dos de la postérité, cet attentat à la Nature sera à jamais gravé dans l’histoire de notre peuple, de notre civilisation.