Justice gauchiste: les nomades pourront enfin salir la commune de Saignelégier
Ils exigent, vous cédez
Nous ne vivons pas une époque de dégénérés avec des lois édictées par des débiles mentaux. C’est juste que les autorités aiment se rouler dans le purin tout en s’en badigeonnant le visage.
La justice du canton du Jura a admis lundi le recours d’une association de gens du voyage. Elle a estimé que la commune de Saignelégier s’était rendue coupable de discrimination en lui interdisant le séjour sur son territoire.
Composée elle-même de gens du voyage, cette association qui a pour but de prêcher l’Evangile à tout le monde, et en particulier aux communautés nomades, a pour habitude d’organiser, pendant la période estivale, une tournée dans toute la Suisse. Elle avait donc demandé de pouvoir séjourner une quinzaine de jours avec 25 à 35 caravanes et un chapiteau sur le territoire de la commune franc-montagnarde.
Les associations communautaires sont par définition contraires au bien commun. Celle-ci organise des tours pour saloper les beaux coins de Suisse tout en prêchant l’Evangile. C’est leur façon à eux de se repentir de la ruine des terrains mis honteusement à leur disposition. Car oui, deux semaines, c’est largement suffisant pour qu’une trentaine de caravanes transforment tout endroit en Bangladesh bis.
Pour justifier son refus, Saignelégier s’était fondée sur son règlement de police communale qui interdit le séjour pour les gens du voyage.
Par peur d’être amalgamée au Berlin des années 30, la commune de Saignelégier ne pouvait pas exprimer la véritable raison de son refus: ces communautés de défécateurs compulsifs laissent traîner des quantités astronomiques d’immondices sous le nez des habitants impuissants, ce qui, vous le concéderez, n’est pas très agréable.
De plus, le hasard étant ce qu’il est, les vols augmentent vertigineusement dès lors qu’ils choisissent de s’établir dans une commune trop stupidement socialiste, naïvement centriste, ou simplement victime de la législation pour les accueillir.
En interdisant le séjour sur le territoire communal en raison de la seule appartenance à la communauté des gens du voyage, ce règlement crée une discrimination directe qui ne saurait être admise, a souligné la juge administrative.
L’association avait fait recours en évoquant le grief d’interdiction de discrimination, le respect des garanties fondamentales des gens du voyage et de leur mode de vie, ainsi que le respect de garanties constitutionnelles de rang supérieur à la législation communale.
La juge administrative a su reconnaître l’odieuse discrimination dont s’est rendue coupable la commune crypto-nazie. Justice donc pour cette association de nomades évangélistes. Leurs protégés pourront à nouveau pourrir le sol des Franches-Montagnes en toute tranquillité, pour le plus grand malheur des riverains.