La campagne pour le mariage gay a bouleversé l'état mental des LGBT, selon une étude

C'est de la science

La campagne pour le mariage gay a bouleversé l'état mental des LGBT, selon une étude

Les éminents docteurs en sciences sociales sont formels : les LGBTIQ+ sont victimes de persécutions par stress causées par les hétéro-fascistes omniprésents dans la société hétéro-normée, un vestige du nazisme qui a la peau dure.

20min.ch

Les personnes LGBTIQ+ ont été davantage stressées durant la campagne pour le mariage gay, et c'est des relevés scientifiques qui le prouvent. Du moins, c'est ce qu'a révélé mardi une étude réalisée par les universités de Zurich, Princeton et Montréal. Pour obtenir ce résultat, les chercheurs ont interrogé plusieurs centaines de personnes avant, pendant et après la votation nationale de 2021. Ils ont ensuite recueilli des données biologiques à partir d'échantillons de cheveux. Résultat: les personnes queer ont présenté des taux plus élevés de marqueurs biologiques du stress, tels que le cortisol et la cortisone, pendant la votation.

La dépression sévère est aussi une des causes de l'augmentation de la sécretion de cortisol.

Burnout, dépression, syndrome d’adaptation et cortisol
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Ces pauvres LGBTIQ+ souffrent de la discrimination de ces grands chercheurs qui préfèrent accuser la société de transphobie plutôt que de considérer les pathologies mentales dont souffrent indubitablement leurs sujets d'étude.

L'étude montre donc que les arguments et les déclarations du camp des opposants ont eu un effet négatif sur les niveaux de stress biologique des personnes LGBTIQ+ et de leurs alliés. L'une des scientifiques, le Docteur Léïla Eisner de l'Institut de psychologie de l'Université de Zurich, a expliqué ce phénomène: «Les campagnes politiques contre les droits des LGBTIQ+ peuvent renforcer l'expérience de discrimination, de rejet et d'aliénation de la société majoritaire chez les personnes déjà stigmatisées».

Il n'y a pas de campagnes politiques contre les droits des LGBTIQ+, uniquement des réactions à des campagnes politiques pour les droits des LGBTIQ+. Si c'était le cas, les organisateurs seraient poursuivis par les homosexuels du Ministère public pour appel à la haine contre des personnes en raison de leur orientation sexuelle.

Fait intéressant cependant, le niveau de stress perçu consciemment chez les participants interrogés n'a pas augmenté  au cours de cette période. «L'une des raisons pourrait être que notre perception du stress est influencée par de nombreux facteurs», ont partagé les chercheurs. La raison de la campagne n'a donc pas forcément été retenue par les protagonistes pour expliquer leur anxiété.

Les somités scientifiques en études de genre de l'Université de Zurich veulent à tout prix prouver que ce sont les saines réactions de rejet du peuple aux revendications des homo-traveloïdes qui sont à l'origine de leur angoisse.

Pourtant, la réponse se trouve sous leurs yeux, dans leur étude écrite avec le cul.

Panel suisse LGBTIQ+ – rapport de synthèse 2022: Gender Campus

Sur 3'748 répondants, 584 se disent eux-mêmes atteint d'une maladie mentale et 468 neurodivergents, ce qui représente plus de 30% de l'échantillon total. Précisons toutefois que les personnes interrogées avaient la possibilité de cocher ces deux catégories à la fois.

Ce pourcentage est parfaitement correlé à la consommation de drogue (hors cannabis) des travelos. 28.4% d'entre eux en auraient consommé au cours du mois dernier.

Leur niveau de bien-être subjectif démontre un mal-être certain :

Pareil pour leur santé :

En réalité, ces minorités réagissent à la honte qu'elles éprouvent pour elles-mêmes par de la haine envers les hétérosexuels. Ce phénomène de projection est frappant lorsqu'on y ajoute la dimension de l'intersectionnalité.

Un homosexuel noir haïra les hétérosexuels pour ce qu'il considère être sa tare sexuelle, mais aussi les homosexuels blancs pour sa tare raciale. Lisez plutôt ce passage à la fin de ce papier sale :

J’ai fait l’expérience de beaucoup trop de racisme de la part de membres de la communauté LGBTIQ+, c’est la principale raison pour laquelle je refuse de m’identifier à la communauté ou au mouvement. Les espaces queer en Suisse sont faits pour les personnes blanches et cela doit changer.

Ces études réalisées par des femmes blanches hystériques coûtent des fortunes, alors que tout le monde se fout de ces problématiques qui touchent une infime partie de la population.

L'Armée suisse aussi a un service géré par des femmes blanches. Ils viennent d'organiser un grand sondage sur la non-binarité.

Bref sondage « Non-binarité dans l’Armée suisse »
Comment se sentent les personnes non-binaires dans l’Armée suisse ? FdAD mène un bref sondage auprès des militaires non-binaires.

N'hésitez surtout pas à y participer.

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