La croix blanche, à l'ombre de l'étoile bleue
Les anticonspis en sueur
Après les déboires juridiques du média, il était nécessaire de comprendre, à un niveau national, comment nous en étions venus à perdre notre précieuse liberté d'expression.
Au grand dam de notre lectorat le plus hermétique aux « théories du complot », force est de constater que les raisons de cette dégradation sont le fruit d'une collaboration judéo-maçonnique. Ou plutôt de la servilité de ces derniers pour les premiers.
Je vois déjà vos yeux de droitards sceptiques s'écarquiller devant ce terme frappé d'anathème. Pourtant, la Suisse est l'exemple parfait de ce qui fut une véritable connivence antiblanche et nous allons vous en apporter la preuve.
Un peu de droit
Début 2024, les membres de l'ancienne équipe de La Hallebarde ont été condamnés pour leurs écrits en vertu de l'article 261bis du code pénal :
Quiconque, publiquement, incite à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse ou de leur orientation sexuelle,
quiconque, publiquement, propage une idéologie visant à rabaisser ou à dénigrer de façon systématique cette personne ou ce groupe de personnes,
quiconque, dans le même dessein, organise ou encourage des actions de propagande ou y prend part,
quiconque publiquement, par la parole, l’écriture, l’image, le geste, par des voies de fait ou de toute autre manière, abaisse ou discrimine d’une façon qui porte atteinte à la dignité humaine une personne ou un groupe de personnes en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse ou de leur orientation sexuelle ou qui, pour la même raison, nie, minimise grossièrement ou cherche à justifier un génocide ou d’autres crimes contre l’humanité,
quiconque refuse à une personne ou à un groupe de personnes, en raison de leur appartenance raciale, ethnique ou religieuse ou de leur orientation sexuelle, une prestation destinée à l’usage public,
est puni d’une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d’une peine pécuniaire.
Cet article est truffé de notions vagues qui laissent au procureur tout loisir à interpréter la loi comme bon lui semble, en fonction de l'opportunité politique.
Qu'importe, me direz-vous, puisque la Constitution garantit la liberté d'expression :
Art. 16 Libertés d’opinion et d’information
1 La liberté d’opinion et la liberté d’information sont garanties.
2 Toute personne a le droit de former, d’exprimer et de répandre librement son opinion.
3 Toute personne a le droit de recevoir librement des informations, de se les procurer aux sources généralement accessibles et de les diffuser.
Certes, mais ce n'est rien là qu'une manifestation de vos lacunes en matière de connaissances juridiques. En effet, selon l'alinéa 2 de l'art. 36 de la Constitution, la restriction d'un droit fondamental tel que la liberté d'expression se justifie dans le cas de la protection d'un droit fondamental d'autrui :
Art. 36 Restriction des droits fondamentaux
1 Toute restriction d’un droit fondamental doit être fondée sur une base légale. Les restrictions graves doivent être prévues par une loi. Les cas de danger sérieux, direct et imminent sont réservés.
2 Toute restriction d’un droit fondamental doit être justifiée par un intérêt public ou par la protection d’un droit fondamental d’autrui.
3 Toute restriction d’un droit fondamental doit être proportionnée au but visé.
4 L’essence des droits fondamentaux est inviolable.
Puisqu'en discriminant, vous portez atteinte à la dignité humaine d'après l'art. 261bis du code pénal, droit fondamental inscrit à l'art. 7 de la Constitution, votre droit à la liberté d'expression devient caduque. Abracadabra, vous l'avez dans le baba.
Après ce tour de passe-passe qui rendrait Houdini vert de jalousie, vous seriez en droit de vous demander pourquoi avions-nous besoin d'un tel article dans notre code pénal si la discrimination était déjà incluse dans l'art. 8 de la Constitution :
1 Tous les êtres humains sont égaux devant la loi.
2 Nul ne doit subir de discrimination du fait notamment de son origine, de sa race, de son sexe, de son âge, de sa langue, de sa situation sociale, de son mode de vie, de ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques ni du fait d’une déficience corporelle, mentale ou psychique.
3 L’homme et la femme sont égaux en droit. La loi pourvoit à l’égalité de droit et de fait, en particulier dans les domaines de la famille, de la formation et du travail. L’homme et la femme ont droit à un salaire égal pour un travail de valeur égale.
4 La loi prévoit des mesures en vue d’éliminer les inégalités qui frappent les personnes handicapées.
Le but était justement d'introduire un flou juridique qui allait ensuite être comblé par une jurisprudence défavorable aux nationalistes. Il ne manquait plus qu'un prétexte à modifier la loi.
Un peu d'histoire
En 1986 éclata l'affaire Mariette Paschoud. Après avoir participé à une conférence du révisionniste Henri Roques et à l'expression de ses doutes quant à sa foi en les chambres à gaz hitlériennes, cette enseignante lausannoise fut ostracisée par ses collègues, boycottée par ses élèves et harcelée par les médias de la façon la plus immonde qui soit. Le cirque mené par toute cette lie gauchiste fut tel que le Conseil d'État vaudois finit par la révoquer de son poste au Gymnase de la Cité.
Se frottant les mains en évitant tant bien que mal de s'écharper le nez au passage, les Juifs de la LICRA n'hésitèrent pas à sauter sur l'occasion pour poser les jalons de ce qui allait devenir la norme pénale antiraciste. Ces gens ne s'en cachent d'ailleurs même pas et l'affichent aujourd'hui fièrement sur le site internet de leur succursale suisse.
La jonction entre franc-maçonnerie et lobby juif s'opère à ce stade. À cette époque, le secrétaire général de la LICRA suisse était le franc-maçon 33° Jean Bénédict, fondateur du Groupe de Recherche Alpina. Nous avons retrouvé un audio dans les archives de la RTS dans lequel il se vantait de son implication dans cette conspiration contre le droit fondamental des Suisses à la liberté d'expression. Voici le passage isolé qui nous intéresse :
N'hésitez pas à aller l'écouter en entier, cela vous permettra de mesurer à quel point cette brave femme a été persécutée, en son temps, pour avoir osé maintenir son opinion sur le révisionnisme.
La loi antiraciste
Après la chute de l'URSS, les État-Unis, aux mains du lobby juif (nous le verrons plus bas), devinrent du jour au lendemain la puissance hégémonique sur plus de la moitié du globe. Il était donc temps que son principal vassal et nouvel adversaire, l'Europe, soit affaibli politiquement et subisse enfin la vengeance de ceux qui considéraient qu'elle s'était injustement révoltée contre leur domination.
Les principaux pays d'Europe se dotèrent donc peu à peu d'un arsenal de loi antidiscrimination muselant ses peuples en vue de leur soumission totale. En Suisse, c'est en 1993 que le parlement adopta cette loi écrite par les Juifs de la LICRA suisse et qui fut soumise à référendum l'année suivante. Et là, miracle de Yahvé.
Au sein de cette même loi, on vit apparaître au côté de l'interdiction de la discrimination raciale la minimisation de génocides, en précisant bien que l'on parlait ici de l'Holocauste, ceci dans l'unique but de bâillonner les révisionnistes qui, par leur travail acharné, allaient venir à bout de la version officielle exterminationniste. Nous y reviendrons dans un article dédié.
Après moultes documentaires sur la Shoah et jérémiades sur des affaires médiatisées d'agressions de centres de requérants, on expliqua au peuple qu'il était d'une absolue nécessité de voter cette loi si l'on voulait adhérer à la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale et enfin faire partie de la communauté des gens honorables. Il n'en fallut guère plus pour convaincre l'Helvète crédule de voter contre ses intérêts.
Avec un taux de participation inférieur à 50%, le bétail démocratique accepta ces quelques lignes dans son code pénal qui allaient permettre à la tarentule hébraïque de tisser sa toile sur son pays désormais soumis à la juiverie internationale. J'en profite ici pour rappeler notre coup de gueule contre la démocratie.
La franc-maçonnerie étant parvenu à faire des Juifs une communauté privilégiée, elle devint donc inutile et ne représente aujourd'hui plus qu'une force d'influence marginale, comme l'admettait en 2008 ce cher Jean Bénédict dans une revue maçonnique.
L'affaire des fonds en déshérence
En plus d'être un véritable totem d'immunité face à la moindre critique, cette loi fut nécessaire afin de réaliser le plus gros casse du siècle. En effet, immédiatement après cette défaite, la Suisse fut victime d'une violente campagne médiatique à son encontre pour faciliter le racket organisé par le Congrès Juif Mondial (CJM) à hauteur de 1.3 milliards de francs pour des soi-disant fonds en déshérence dans des banques et assurances suisses.
Le premier qui bronchait était de suite taxé d'antisémite ou accusé d'inciter à la haine, à l'instar du Conseiller fédéral de l'époque Jean-Pascal Delamuraz :
Le chantage fut le suivant : ou la Suisse se couchait et payait la rançon exigée par les Juifs du CJM, ou ces mêmes rapaces pèseraient de tout leur poids auprès de la commission bancaire américaine pour empêcher l'accès au marché américain à ce qui allait devenir l'UBS suite à la fusion de l'Union de banques suisses et de la Société de banque suisse.
L'influence dont jouit cette juiverie « d'élite » ne se limite pas qu'à l'échelon financier. Edgar Bronfman, président du CJM à cette époque, était le plus gros donateur du parti Démocrate. En guise de retour d'ascenseur pour avoir soutenu sa réélection, le président des États-Unis Bill Clinton s'était personnellement impliqué pour faire plier la Suisse dans ce qui fut dénoncé très justement comme « l'Industrie de l'Holocauste » par le « Juif antisémite » Norman Finkelstein.
Au passage, les Juifs ayant réellement souffert de la guerre n'ont pratiquement pas vu la couleur de cet argent extorqué par la mafia juive new-yorkaise, en témoignent ces survivants.
Edgar Bronfman, écumant de haine talmudique, s'était même permis de menacer la Suisse en des termes martiaux :
"Si les Suisses persistent dans leur obstination, j'exhorterai tous les actionnaires américains à suspendre toute transaction avec eux. Nous sommes arrivés à un point où l'affaire doit être réglée, sinon ce sera la guerre totale" ("or it has to be total war").
Il y a comme un air de déjà-vu.
Vraiment, ces membres du peuple élu incarnèrent l'archétype du Juif dont Bronfman fut la quintessence.