La démocratie égalitaire, cause de la fracture des sexes
Ce système ne comporte vraiment aucun avantage
La démocratie, et plus particulièrement le suffrage universel, est ce qui pouvait arriver de pire à la Suisse et au monde blanc en général. Ce système polarise les divergences naturelles provenant des déterminismes sexuels que la gauche nie envers et contre tous.
Cette gauche vers laquelle les femmes tendent naturellement (nous le verrons plus bas) leur explique qu'elles sont victimes de discriminations opérées par le patriarcat, notion volontairement vague pour ne pas braquer les hommes suffisamment beta pour accepter un discours qui fait d'eux les complices involontaires d'un système de domination tourné contre les femmes.
Cette rhétorique est d'autant plus nocive qu'elle produit des miracles sur les cerveaux féminins.
La promotion du féminisme radical et de sa lecture marxiste oppresseur / opprimé des rapports entre les sexes n'a fait qu'aggraver ce vers quoi la démocratie égalitaire était destinée à nous mener. Même si l'on ne peut pas lui attribuer l'intégralité de la responsabilité, les conséquences démographiques sont terrifantes.
Mais c'est sur le clivage gauche-droite qu'un fossé s'est creusé au fil des années chez les moins de 40 ans. La RTS a publié un sondage avec de beaux graphiques que je me devais de vous communiquer ici.
Résultats du sondage de la RTS
Ces résultats prouvent à eux-mêmes que des paramètres autres que purement sociologiques influencent la manière dont les sexes se représentent le monde.
Les femmes, par nature plus conformistes et émotives, évoluent vers la gauche du spectre politique. Sans surprise, elles ne peuvent pas blairer le conservatisme propre à l'UDC qu'elles identifient comme le parti de la discrimination.
À l'inverse, les hommes, par nature plus compétitifs et enclin à la prise de risques, se droitisent. Mais, à ma grande déception, c'est la droite affairiste qui attire les faveurs de ces jeunes pleins d'illusions. Fort heureusement, ils nourrissent une haine passablement marquée pour les homo-réchauffistes du PS et des Verts.
Des chiffres à contextualiser
Voici la composition du Conseil national, la chambre basse représentant le peuple. L'UDC est le parti comprenant le plus de sièges, avec un total de 62 sur 200.
Malgré cette nette majorité, le sondage publié par la RTS semble donner vie au slogan de l'extrême gauche selon lequel « tout le monde déteste l'UDC ». Ce parti ne jouit visiblement d'aucune sympathie, toutes classes d'âge confondues.
Les élus de l'UDC ne pourraient pas représenter 31% du Conseil national si les données de ce sondage étaient absolument conformes à la réalité. Le biais de désirabilité sociale, soit la tendance à adopter les croyances ou les comportements d'un groupe pour se conformer aux attentes sociales, joue un rôle certain dans ces résultats.
Ce biais est particulièrement frappant chez les hommes, ce qui témoigne d'un certain manque de courage dans l'affirmation de ses convictions.
Il se peut aussi que les hommes qui se sentent proches des idées défendues par l'UDC soient très peu nombreux à participer à ces sondages.
Quoi qu'il en soit, par notre travail, nous devons attirer à nous les hommes sûrs d'eux-mêmes et dominateurs et amener les jeunes Blancs à s'affirmer dans la radicalité sans avoir honte de qui ils sont et de ce qu'ils pensent.
La révolution ne peut faire l'impasse sur une base d'hommes solides et droits dans leurs bottes qui doivent être, je le rappelle, suffisamment bruyantes pour terroriser les gauchistes.
Car oui, cette polarisation entre les hommes et les femmes n'ira qu'en s'aggravant tant que nous n'aurons pas repris le contrôle de notre société, condition préalable à la remontée du taux de natalité par des mesures qui ne peuvent être que de nature autoritaire.
L'avenir de notre peuple en dépend, et ce n'est certainement pas la démocratie qui lui survivra.