La liberté d'expression en Suisse: deux poids, deux mesures

Depuis les lois liberticides de 1995 et 2020 accordant des privilèges communautaires aux Juifs, métèques et homosexuels, la liberté d'expression en Suisse n'est plus que la liberté de dégueuler sur les autochtones qui ont les immenses défauts d'être blancs et hétérosexuels.

Ces derniers sont déférés devant les tribunaux au moindre mot de travers par toutes les associations hostiles à notre ontologie. Illustrons ce paradigme antiblanc par trois exemples récents.

Le privilège Juif

Tweeter son envie de brûler le Talmud, le livre de sorcellerie des Juifs qu'ils emploient pour maudire l'humanité, sera tout bientôt interdit.

Z., le Genevois accusé de répandre la haine des juifs en Suisse

Z., un Genevois proche d’Alain Soral, fait l’objet d’une dénonciation de la CICAD pour des publications antisémites. Aucune poursuite n’a encore été lancée.

watson.ch/frAntoine Menusier

C'est dommage, car il paraît que le Talmud est source de chaleur intense dans les cheminées lors des hivers enneigés.

Par contre, nul doute que ces mêmes Juifs auraient applaudi des deux mains en glorifiant la liberté d'expression de notre démocratie si l'objet de cet autodafé avait été une Bible.

La publication d'images humoristiques représentant la réalité objective sera tout aussi interdite, surtout si cette réalité est antisémite.

Au moins, ce Mehmet bientôt déclaré coupable par le tribunal rabbinique nous aura fait rire.

Le privilège métèque

Constater qu'un noir est noir, c'est déjà lui mettre des chaînes.

Peine confirmée contre un UDC ayant insulté Africains et homos

Naveen Hofstetter n’a pas obtenu gain de cause devant le Tribunal fédéral pour avoir écrit des commentaires haineux.

20 minutes

Il avait écrit sur Facebook, avant la votation sur le mariage pour tous, qu'un «oui» dans les urnes à ce sujet signifiait que la société permettrait que des «réfugiés africains puissent eux aussi adopter des petites filles dans le but d'accomplir avec elles des actes sexuels». Il avait insisté sur le caractère «contre-nature» des couples homosexuels.

Le TF confirme que l'utilisation des termes «hommes d'origine africaine» et «réfugiés africains» désignait une ethnie ainsi qu'une race, comme décrit par la norme pénale contre la discrimination.

Ces juges ne doivent pas beaucoup voyager, auquel cas ils sauraient que l'existence des races est plus que jamais une réalité. Personnellement, plus je voyage, plus je suis convaincu dans mon racisme intégral.

D'ailleurs, à l'exception des Blancs névrosés, toutes les ethnies de toutes les races le reconnaissent sans ambages. La vérité, c'est que ces pères-la-morale considèrent ces groupes de population comme des sauvages inéduqués aux croyances erronées.

Aucun individu ne peut s'extraire de son racisme conditionné par des millénaires d'existence, seul le caractère par lequel il se manifeste varie en fonction de sa propre expérience.

La justice confirme aussi que l'utilisation du mot contre-nature, dans ce contexte, signifie que les homosexuels sont considérés comme «des êtres humains de deuxième classe».

« Contre-nature » signifie simplement qu'aucune forme de vie ne peut advenir d'une telle union. L'interprétation est pourtant limpide, mais les juges homosexuels influencés par leur mœurs de mauvaise vie en ont décidé autrement.

Le privilège LGBT

Le mot « tapette » est définitivement rayé du dictionnaire.

«Tapettes» à l’Eurovision: plainte contre l’élu fribourgeois

L’Association Trans et non-binär Fribourg veut que le député UDF Ivan Thévoz réponde de ses propos.

lematin.ch

Au lendemain du concours de la chanson, avec la victoire de l’artiste biennois Nemo, qui se définit comme non-binaire, l’élu de l’Union démocratique fédérale (UDF) avait dit sur Facebook sa «honte de cette Suisse qui n’est pas la mienne». Puis il avait écrit: «Au moins lors des fêtes de lutte suisse, il n’y a que peu de tapettes».

Ivan Thévoz avait retiré cette réaction et avait présenté ses excuses pour le terme qu’il avait employé, «pas digne d’un chrétien».

Un chrétien digne ne s'excuse pas devant l'œuvre du Diable. Il s'assume et la combat jusqu'au bout. Cette marque de faiblesse ne fait qu'exciter les pulsions destructrices des disciples de Satan.

Ce n’est cependant pas suffisant pour l’Association Trans et non-binär Fribourg, relate «La Liberté», «Malgré ces excuses, nous sommes choqués par les propos qui sont inacceptables, et tout particulièrement de la part d’un député», explique le président Eleo Emil Billet. Qui précise que, plus qu’une condamnation, il veut «que ce sujet, qui a été qualifié de dérapage, ne soit pas oublié».

Jusqu'à la fin de ses jours, cet homme va devoir renier le Christ et témoigner de sa foi nouvelle et sans faille dans la religion non-binaire.

La malédiction blanche

Par contre, il en est tout autrement lorsqu'on insulte le symbole qui représente les Suisses de souche.

Tournicoton, du PLR, a tenu à défendre solennellement le droit de tous à chier sur les Blancs. Remplacez les mots « notre pays », « la patrie » ou encore « le drapeau » par « l'anal non-genré ». D'un seul coup, tout change.

«(...) Même si c'est malheureux, il existe des citoyens qui n'aiment pas notre pays. (...) Mais j'ai l'intime conviction que la coercition pour imposer l'amour de la patrie est la panacée des dictatures et des autres régimes tyranniques».

«L'expression bête et méchante contre le drapeau n'est qu'une manière idiote d'exprimer une colère qui est permise, a encore développé Philippe Nantermod. Les grandes démocraties se reconnaissent par leur capacité à tolérer la contestation, à y survivre sans avoir besoin de restreindre les libertés individuelles, même face à quelques agités».

Pourtant, « la grande démocratie » suisse n'a aucun problème à restreindre la liberté d'expression et ne pas tolérer la contestation lorsqu'il s'agit d'exprimer la colère de l'anal non-genré.

Il faudrait être fou ou aveugle pour ne pas constater ce deux poids, deux mesures abyssal à notre désavantage.