La police ne peut plus mentionner la couleur de peau des fugitifs

Fedpol Against Racial Prejudice

La police ne peut plus mentionner la couleur de peau des fugitifs

C'était la suite logique des choses après les scandales dignes de l'Allemagne des années 40 qui ont éclaté au sein de la police lausannoise après qu'un Jeunistanais se soit encastré dans un mur en scooter.

Fedpol interdit la mention de la couleur de peau dans les recherches policières
Depuis peu, Fedpol interdit aux polices cantonales d’évoquer la couleur de peau des personnes qu’elle recherche. Cette mesure fait suite à une plainte de l’étranger.
«À toutes les unités: le suspect est un homme blanc, mesure plus d'1m80 et parle couramment le françaisCette description, fictive, fait désormais partie du passé. Depuis la semaine dernière, les forces de l’ordre de tout le pays n’ont plus le droit d’indiquer la couleur de peau d’une personne recherchée dans le système national Ripol.

Cette description correspond parfaitement à la réalité objective du genre de profil de suspect que la police est amenée à traquer. En réalité, cette motion vise à protéger nos concitoyens du racisme anti-blanc, ceux-ci étant évidemment statistiquement surreprésentés dans les crimes et les délits commis dans le pays.

La criminalité étrangère, un mythe d’extrême droite?
Vous y croyez? Vous êtes Nazis
Cette décision, annoncée par l’Office fédéral de la police (Fedpol), découle d’une plainte officielle émanant de l’étranger, révèle «Blick», qui s'est procuré le document.

On se demande bien quelle (((instance étrangère))) a le pouvoir de mettre nos autorités à genoux grâce à une vulgaire plainte officielle.

Heureusement, un torrent de bouse s'est abattu sur Fedpol depuis l'annonce de cette décision.

La disparition de la couleur de peau des avis de recherche ne fait pas l’unanimité en Suisse
Depuis une semaine, la couleur de peau ne peut plus être mentionnée dans le système national de recherche RIPOL. La décision de l’Office fédéral de la police (Fedpol), révélée par la presse alémanique, suscite de vives réactions dans les cantons.

Certains cantons leur ont déjà tendu un doigt, et ont annoncé qu'ils continueraient de mentionner la couleur de peau dans leurs recherches.

Plusieurs polices cantonales contestent également la décision fédérale. Zurich s’y oppose frontalement: son conseiller d’État Mario Fehr la juge "peu utile" et "politiquement motivée". La police zurichoise continuera d’ailleurs de mentionner la couleur de peau dans son propre système. À Berne, les autorités ont officiellement fait part de leur désaccord à Fedpol.

Il est tout de même rassurant de voir que nos institutions ne se soumettent pas toutes à la moindre pression politique gauchisante qui vise à nuire à leurs propres intérêts.

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