La RTS appelle ses zombies à financer l’organisation ruinée SOS Méditerranée
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Derrière cet appel à soutenir notre invasion se cache une réalité des plus réjouissantes.
Les associations humanitaires en mer craignent pour la survie de leurs activités de sauvetage. Jeudi, l’ONG SOS Méditerranée alertait sur une situation financière difficile et sans précédent. Les charges augmentent et les donations baissent.
Pour 2023, il manque un million d’euros à l’association SOS Méditerranée pour assurer les activités du navire Ocean Viking.
Le bateau consomme beaucoup de carburant, alors que les prix n’ont cessé de flamber, explique lundi dans La Matinale la directrice générale de SOS Méditerranée Suisse, Caroline Abu Sa’Da: « On a une augmentation assez importante des coûts du fioul, plus de 700’000 euros. »
La hausse des prix de l’énergie a tout de même certaines vertus que l’on aurait tord de minimiser. Outre le réveil brutal de tous les normies dépolitisés, les associations remplacistes se retrouvent sur la paille.
En parallèle, s’ajoutent des obstacles politiques pour pouvoir accoster. Cette année, les débarquements ont été plus tardifs. « On débarque les gens après 10 à 21 jours. Cela signifie des frais de repas supplémentaires, » précise Caroline Abu Sa’Da.
Le poulet vient à manquer en cuisine et l’équipage craint de finir sur le grill.
À l’heure actuelle, l’association n’a pas suffisamment d’argent pour faire tourner son bateau les 12 mois de l’année 2023. Or il est difficile pour l’organisation de réduire ses coûts. L’ONG compte sur des donations privées qui ont chuté cette année.
La situation est identique pour trois autres organisations actives dans le sauvetage en mer. En 2022, l’ONG Sea Eye a vu fondre ses dons de 25%,affirme sa porte-parole Anna Paulitsch. Elle attribue cette diminution à la simultanéité des crises. Les donateurs se sont en effet redirigés vers la crise ukrainienne.
Nous n’en savons rien, peut-être est-ce le vieux parasite increvable George Soros qui, voyant la mort lui tendre les bras, tente de s’accrocher à sa fortune comme le crustacé s’accroche au rocher. Rattrapé par son amour pour l’argent inversement proportionnel à sa pseudo-philanthropie, il ne supporte plus d’être le seul à dépenser ses sous dans le négoce d’hommes marrons à bas QI, business dont la rentabilité globale n’a jamais été des plus alléchantes, il faut bien le dire.
Ce qui se passe en Méditerranée devient moins important aux yeux du public, selon Anna Paulitsch: « Par exemple, cette année, un donateur ne nous a pas donné d’argent, il a affirmé que pour lui ce qui se passe en Ukraine est plus important. »
L’association craint le pire, elle ne sait pas si elle aura assez d’argent pour financer sa mission de sauvetage de janvier prochain.
Évidemment que ce qui se joue en Ukraine est plus important, aussi bien d’un point de vue humanitaire que politique. Qui d’utile en Europe en a quelque chose à faire de la contrainte du service militaire en Érythrée ou de la mise en place d’un régime d’arriérés en Afghanistan?
Que ces gens fassent le nécessaire pour changer les choses dans leur pays, et nous de même. L’histoire n’a jamais été tendre avec les peuples démissionnaires de leurs devoirs, l’invasion de l’Europe en est la preuve contemporaine.