La vérité sur les féminicides

Article 100% féministe

La vérité sur les féminicides

En voulant crâner sur le sujet de société des féminicides pour se faire bien voir auprès des autres agences de presse, la journaliste de Swissinfo à l’origine de l’article cité plus bas en a oublié l’essentiel. L’OFS était pourtant là, détenteur de la vérité. Je propose d’ailleurs qu’on le renomme OFV : Office Fédéral de la Vérité.

J’aime bien les statistiques. Trop de chiffres tue les chiffres, mais il faut dire qu’ils ramènent du réalisme lorsque l’hystérie s’insère dans le débat public. J’avais déjà utilisé ce graphique dans mon article sur la criminalité étrangère. Il est tellement parlant:

Le graphique de la vérité

Cette fois, il faut le mettre en corrélation avec celui des femmes victimes de violence grave:

Corrélation quasi parfaite

Les actes de violence grave incluent notamment les féminicides. Les féministes qui font usage de ce terme inclusif omettent systématiquement de parler de l’origine des responsables car elles ont adopté le concept d’intersectionnalité tout droit sorti des facultés de sociologie américaines. Pour faire simple, l’intersectionnalité est l’addition de toutes les tares dont vous seriez affublé et qui vous péjoreraient au sein de la société patriarcale. L’échelle marxiste est toujours la même:

À une extrémité, la victime ultime de l’oppression: femme noire, pauvre, handicapée et lesbienne. Et à l’opposé, l’oppresseur ultime qui est l’homme blanc, riche, valide et hétéro.

Il y a une documentation phénoménale sur le sujet. Cette folie est prise très au sérieux, notamment dans les instituts de recherche outre-Atlantique. L’Europe étant soumise aux États-Unis, ce poison s’instille petit à petit dans la jeunesse européenne par le biais des universités et de la propagande Netflix.

https://cihr-irsc.gc.ca/f/52352.html

Pour en revenir à l’article, je n’ai lu nulle part que la responsabilité de ces violences incombait peut-être un peu aux individus d’origine étrangère. Quoique, j’ai pu l’entrevoir dans le paragraphe ci-après, mais j’ai dû procéder à mes propres recherches. C’est assez navrant:

Swissinfo.ch

[…]

La plupart des meurtres de femmes commis dans la sphère privée sont, de fait, des féminicides. Ceux qui sont perpétrés dans une relation de couple «sont souvent liés au besoin d’affirmer le contrôle masculin», note l’ONU dans son document. Et lorsqu’ils sont commis par d’autres membres de la famille, il s’agit souvent de crimes d’honneur ou de meurtres liés à la dot, également «ancrés dans les normes sociétales et culturelles».

La dot, la dot… Mais où donc payons-nous la dot?

http://chartsbin.com/view/40102

Maintenant attention, tenez-vous bien pour la révélation de votre vie. Swissinfo vous propose la carte des féminicides réalisée par leurs soins :

Dommage qu’il n’y ait pas de données africaines et arabes

C’est tellement lassant… cette carte est quasiment à l’opposé de celle du haut! La Société suisse de radiodiffusion et télévision nous prendrait-elle pour des cons?

Voyons un peu ce qui se dit sur la Suisse:

Membre depuis 2018 de la Convention d’Istanbul sur la lutte contre les violences faites aux femmes, la Suisse se situe en milieu de peloton en comparaison européenne en matière de violences domestiques. A 0,48 pour 100’000, le taux de femmes tuées dans le cadre d’une relation de couple ou familiale y est plus bas qu’en Finlande ou en Allemagne, mais plus haut qu’en France ou en Italie.

«La Convention d’Istanbul sur la lutte contre les violences faites aux femmes», laissez-moi rire…

Bien que le nombre absolu de meurtres soit faible, la part de ceux perpétrés dans le cadre d’une relation de couple est importante, à environ 40%, indique Sina Liechti, chargée de communication du Bureau fédéral de l’égalité entre femmes et hommes (BFEG).

Une étude récente mandatée par le gouvernement suisse montre que l’écrasante majorité des meurtres au sein du couple sont commis par des hommes (90%) et ont des femmes pour victimes (96%). Et qu’ils sont restés stables au cours des 25 dernières années, malgré une baisse générale de tous les autres types de meurtres.

En 2016, une «analyse genrée des morts violentes», publiée par l’ONG basée à Genève Small Arms Survey, notait que la Suisse était l’un des rares pays développés à afficher un taux de meurtres – tous types confondus – des femmes supérieur à celui des hommes. C’est toujours vrai aujourd’hui.

Ces dernières années, elle s’est montrée bonne élève en fournissant des statistiques policières (dont est tiré le graphique ci-dessus) qui distinguent déjà les meurtres de femmes survenus dans et hors de la sphère privée, le sexe des victimes, des auteurs, et précise la relation entre eux. En cela, elles sont alignées sur les standards de l’ONUDC qui prévalaient jusqu’à présent.

Là, je n’en peux plus. Que ce soit dans l’étude citée ou les données fournies par l’Office Fédéral de la Vérité, les chiffres sur la nationalité sont également disponibles et parlent d’eux-mêmes! Ils insistent même sur le fait que les étrangers sont surreprésentés dans les homicides. Par gauchisme, cette journaliste a sciemment décidé ne pas les citer. Encore un exemple de désinformation que je soupçonne fortement d’être active. Comment est-il possible de passer à côté? C’est littéralement sur la page renvoyée dans son article.

S’il y a bien une chose que je ne supporte pas, c’est de tenter d’amalgamer des comportements entre groupes d’individus provenant de civilisations qui n’ont absolument rien en commun. La violence faite aux femmes a toujours existé pour la simple raison que la violence existe et que les hommes ont une force physique qui leur permet de tuer une femme relativement facilement.

L’archaïsme des mœurs de certaines parties du tiers-monde n’est tout simplement pas compatible avec le raffinement des nôtres et de la place qu’occupent les femmes en Occident. Tenter de faire des rapprochements avec l’Europe, c’est faire preuve d’ethnomasochisme en affirmant sa détestation envers notre civilisation.

Comme le dirait Alexandre Cormier-Denis: «importez le tiers-monde, et vous aurez le tiers-monde.» Rien n’est plus vrai dans le cas de la Suisse et des violences subies par les femmes, qu’elles soient Suissesses ou étrangères.

Je suis donc pour protéger sérieusement les femmes des féminicides. Cela commence par le contrôle strict de nos frontières et ça finit par le renvoi en charter.

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