La ville de Lausanne inaugure des bancs LGBTQP
Tout ne s'est pas passé comme prévu

La capitale vaudoise de la dégénérescence continue de prouver à ses habitants sodomites à travers des actions symboliques tout à fait remarquables, que leurs intérêts passeront toujours, à juste titre, avant ceux de la population hétéronormée.
11 bancs aux couleurs arc-en-ciel et trans ont récemment été inaugurés.

Malheureusement, cette journée symbolique remplie d'espoir et de bienveillance a été salie par des militants invertis mécontents.
Une banderole proclamant «Des droits, pas des bancs», ainsi qu'une pancarte «Non au Pinkwashing» attendaient cependant les autorités, a constaté un photographe de Keystone-ATS. Une dizaine d'opposants d'un comité LGBTIQ+, prenant part à la déambulation, ont distribué des tracts pour s'expliquer.
Après avoir fait part de leur mécontentement, les militants ont enfariné le municipal Pierre-Antoine Hildebrand (PLR). Nous espérons que son costume Hugo Boss sortira intact du pressing.

«Pierre-Antoine Hildbrand est entre autres (...) en charge de la police lausannoise. (...) Cette même police qui se marre en s'envoyant des messages racistes, sexistes, antisémites, sexistes, homophobes (...)», pouvait-on y lire. «Les forces de l'ordre et leurs autorités supérieures ne seront jamais alliées des mouvements queers. (...) Sous la peinture arc-en-ciel, il y a la couleur de votre culpabilité», concluaient les opposants.
Bien que cet homme rongé par la culpabilité soit le chef de la Gestapo lausannoise, nous regrettons que des personnes incarnant le camp des gentils aient fait preuve d'une aussi grande violence.
Pire encore, certains bancs ont été vandalisés, seulement quelques jours après leur inauguration.

Ces méfaits ne peuvent être que l’œuvre du collectif queer responsable des perturbations lors de l'inauguration !
Il s'agirait du collectif AQVNR (actions queer vnr), qui a revendiqué l'enfarinage du Reichsführer-SS Hildebrand sur sa page Instagram.

Nous appelons la Municipalité à agir rapidement, et entamer une procédure judiciaire à l'encontre de ce collectif, qui nuit dangereusement à l'image et au combat admirable du lobby de l'anus.