Langenthal: Junge Tat attaqué par des antifas psychotiques
Les médicaments ne faisaient plus effet
Savez-vous ce qu'est l'antifascisme ? Il s'agit d'une grave pathologie mentale dont les malades se représentent une réalité que les spécialistes qualifient de délirante. Les victimes souffrant de cette maladie se retrouvent plongés dans les années 30, entourés de Nazis aux yeux injectés de sang, prêts à déporter tout ce qui n'est pas blond et hétérosexuel dans des camps où du gaz est utilisé pour les assassiner.
Comme partout en Europe, la Suisse compte quelques-uns de ces malades mentaux violents, malheureusement laissés en toute liberté. Ces derniers s'en sont pris à des membres de Junge Tat alors qu'ils distribuaient pacifiquement des tracts sur la remigration, un projet qui consiste à payer un voyage en aller-simple à des touristes restés sur le territoire et dont le visa n'aurait pas été renouvelé.
Ils étaient armés de marteaux, de parapluies et de sprays au poivre. Des antifascistes autoproclamés ont semé la zizanie, lors d'un événement organisé par le groupuscule d'extrême droite Junge Tat. L'affrontement entre les deux groupes a eu lieu samedi dernier, à Langenthal (BE), alors que le mouvement identitaire tenait une soirée d'information sur sa campagne «remigration», qui vise au renvoi massif de migrants dans leur pays d'origine.
Voici donc la page de Vision Remigration, le passionnant projet de ces jeunes suisses alémaniques dynamiques.
Il serait plus que temps d'envisager l'ouverture d'une section romande pour promouvoir cette œuvre de salubrité publique de notre côté de la Sarine. La suprémacie des droitards sur Internet est inutile si elle n'est pas accompagnée d'actions concrètes sur le terrain.
La peur ne doit pas être un frein à la détermination de sauver notre pays. Nous sommes en capacité de fournir un service d'ordre lors de ces actions afin de prévenir toute tentative de perturbation par des malades échappés de l'asile. N'hésitez pas à prendre contact avec nous afin de coordonner la mise en réseau des jeunes courageux et motivés par cette initiative.
Selon Tobias Lingg, porte-parole du Junge Tat, une douzaine d'activistes de gauche ont participé à l'assaut: «Lorsque leur attaque n'a pas réussi, ils s'en sont pris à la voiture d'un de nos membres.» Les adhérents à l'organisation d'extrême droite étaient préparés à un tel scénario et ont réagi en conséquence: «Nous avons mis tous les invités en sécurité, documenté la situation sur film et pris des photos des agresseurs.»
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Un coup de marteau sur la tête est à même de provoquer la mort de la victime. Nous sommes en présence ici de tentatives de meurtre avec préméditation. En laissant ces fous dangereux en liberté, la Suisse fait montre d'une totale irresponsabilité.
Dans leur immense bonté miséricordieuse, les nationalistes – d'un naturel empathique – mettront un point d'honneur à combattre ce fléau par des mesures thérapeutiques à la hauteur de la gravité de la situation.
