Lausanne approuve la sexualisation des mômes à la garderie
Bientôt l’éducation sexuelle à la naissance
Le progrès est en pleine érection dans la capitale vaudoise.
«Les personnes LGBTIQ+ sont particulièrement exposées aux inégalités de traitement, à la violence, aux préjugés, à la discrimination.» Ce constat a poussé Lausanne à décliner sa politique d’inclusion au terme de discussions avec plusieurs associations. Dans cette feuille de route, où elle entend prôner l’exemplarité en tant qu’employeuse qui compte quelque 6000 collaborateurs, la Ville déclare que «les questions relatives à l’identité de genre ou à l’orientation sexuelle et à la situation familiale sont interdites lors des entretiens d’embauche». Une manière pour la Ville de «prévenir et lutter contre les discriminations homophobes et transphobes au sein de son administration communale comme à l’externe, et de promouvoir l’égalité de traitement et d’accès aux prestations communales».
Il est possible de croiser tous les jours des hommes en jupe et bas résille dans cette ville du démon. Ces «iels» n’y sont victimes de rien du tout, ils sont plutôt perçus comme des figures christiques au sein de Sodome et Gomorrhe. Leur influence est telle que la politique de la ville s’aligne systématiquement sur leurs dernières quérulences.
Et qui s’est déjà vu demander son orientation sexuelle lors d’un entretien d’embauche? Ces déclarations sont à l’image des dirigeants de cette agglomération de dégénérés.
Lors des débats du Législatif, mardi soir, l’Exécutif a proposé la désignation d’une personne spécialisée qui sera la référente pour les questions LGBTIQ+ et la mise en place d’un fonds de soutien de 250’000 francs. Autant de jalons qui devraient permettre à Lausanne d’intégrer le «Rainbow Cities Network», réseau international d’échanges de bonnes pratiques pour tout ce qui touche aux questions LGBTIQ+.
Prenez bien conscience de l’utilisation de vos impôts pour atteindre le but ultime de cet Exécutif homo-globaliste: l’appartenance au réseau international des villes inféodées aux femmes à barbe et hommes en ballerines.
La feuille de route a été largement approuvée avec 64 oui, 1 abstention et 6 non. Le groupe UDC s’est démarqué en affichant des réticences et des réserves. Selon l’élu Yohan Ziehli, au lieu de se focaliser sur les délits «lgbtquophobes», Lausanne doit combattre les violences et harcèlements «sans discriminations de cause». Il a également souhaité que le monitoring des violences et harcèlements contre les personnes LGBTIQ+ intègre des données sur les «caractéristiques sociales et personnelles des auteurs» pour mieux cibler la prévention.
Est-ce bien utile? Nous le savons déjà, il s’agira de «jeunes des quartiers défavorisés».
L’élu UDC s’est opposé à de nouvelles dépenses, car la ville a «un endettement endémique et un déficit chronique». Il rejette également les campagnes de prévention dans les garderies et structures de la petite enfance ainsi que les expositions thématiques dans les bibliothèques pour les jeunes. L’UDC dit également non aux WC et vestiaires non genrés dans les lieux publics et les écoles. «La binarité des sexes est une réalité bien établie et peu critiquée en dehors du milieu universitaire», a estimé Yohan Ziehli. Par conséquent, il est d’avis que l’option prise par la Ville «posera bien plus de problèmes qu’elle n’en résoudra».
L’endettement ne sera jamais un problème pour une municipalité tenue par la gauche. Il y aura toujours des bourgeois suffisamment imbéciles pour y rester et payer des taxes toujours plus importantes au fil des années pour financer les dernières folies des amis de la tolérance.
Yohan Ziehli doit certainement être un maître yogi à côté de son mandat de politicien. Comment peut-on garder son calme avec des gens qui cherchent à tout prix à poser les premiers jalons de l’acceptation de la pédophilie dans la société? Au final, pourquoi ne pas supprimer les frontières de l’amour définies arbitrairement entre les âges? Pourquoi accepter une binarité entre adulte et enfant, alors qu’elle est niée entre homme et femme? Le discernement est une notion patriarcale d’extrême droite, l’UNIL nous l’apprendra tôt ou tard.
Bref, je préfère m’arrêter là pour ne pas risquer un procès. Je vous laisse encore la joie de découvrir la chaîne YouTube de la ville de Lausanne avec le conte pour (vos) enfants du hérisson Camille et notamment sa rencontre avec Baptiste, le petit veau aux deux papas. Il n’y a pas de normalité, l’important c’est l’amour!