Lausanne : nouveau rebondissement dans l'affaire des bancs LGBTQP
Cette affaire n'a pas fini de nous faire rire

Depuis la publication de notre premier article, deux nouveaux faits sont venus étoffer cette affaire des bancs sidaïques lausannois, pour le moins croustillante.
Premièrement, nous avons appris que la municipalité lausannoise a décidé de porter plainte à la suite des dégradations.
Notre brève enquête nous avait amené à penser que ces malheureuses déprédations étaient l'œuvre du collectif de sodomites haineux, AQVNR.
Mais coup de théâtre ! Quelques jours plus tard, nous sommes tombés sur une vidéo postée sur Tiktok, d'un allogène à la peau foncée se filmant entrain de repeindre le banc arc-en-ciel se trouvant à Bel-Air.
Cet ingénieur en mécanique aérospatiale sorti tout droit de l'Université de Brazzaville s'est jeté lui-même en pâture dans la gamelle des monstres assoiffés de sang congolais de la Gestapo lausannoise. Cette même police qui n'hésite pas à pourchasser volontairement ses compatriotes afin qu'ils s'encastrent dans des murs à scooter ou qu'ils s'étouffent avec leurs propres boulettes de cocaïne.

Je me délecte de cette situation. La municipalité, à l'image de cette gauchiste à keffieh, se retrouve prise dans l'étau contradictoire de ses fantasmes. Malgré tous les efforts qu'ils mettent en place, les intérêts des envahisseurs extra-européens et des gauchistes à cheveux bleus ne convergeront jamais. Il ne faut pourtant pas avoir fait d'aussi longues études que ce Jeunistanais pour le comprendre.
Il sera maintenant intéressant de suivre la finalité de cette affaire. Ce jeune opprimé subira-t-il le même traitement qu'un autochtone qui refuse de voir sa ville tomber entre les mains de détraqués sexuels, ou bénéficiera-t-il de la clémence d'un juge gauchiste rongé par la haine de son propre peuple ?