Le Blick lève le voile sur l’histoire de Pâques
On en attend de même sur l'islam et le judaïsme
Pour célébrer Pâques, un journaliste particulièrement gauchiste est allé consulter un historien pour «fact-checker» la mort du Christ en six questions. Pour éviter à nos lecteurs de perdre leur temps, voici un bref résumé des points abordés.
Question 1: Jésus est-il vraiment mort au printemps?
Réponse: «Oui, je pense qu’on est juste, répond Jean-Jacques Aubert. Rappelons que le dimanche des Rameaux (ndlr: une semaine avant celui de Pâques) coïncide avec l’arrivée de Jésus à Jérusalem pour les célébrations de la Pâque juive (ndlr: sans «s», célébrant l’Exode hors d’Égypte). Et dans ce contexte festif, où beaucoup de monde descend des campagnes, il est plus facile pour les autorités de mettre la main sur les agitateurs… L’idée qu’une personne charismatique comme Jésus vienne en ville puis se fasse liquider est assez plausible, c’est arrivé à d’autres.»
Par ses paraboles incompréhensibles, Jésus était donc un fauteur de troubles qui usait de son talent oratoire pour manipuler les masses crédules en vue de fomenter des révoltes.
Question 2: Sa vie a-t-elle pris fin à Jérusalem ou au Cachemire?
Réponse: «C’est de la fiction, coupe Jean-Jacques Aubert. Ni les sources chrétiennes, ni les sources juives ou romaines n’ont retenu une version où il ne serait pas mort à Jérusalem.»
Inculte que je suis, je n’avais jamais entendu parler de Jésus mort au Cachemire. Après tout, pourquoi pas. Jésus était un genre d’hippie aux longs tifs qui passait son temps à bourlinguer et jouer de la mandoline. Son addiction au charas, le haschish indien, expliquerait probablement l’origine de cette théorie alternative.
Question 3: Pas de corps, pas de crime?
Réponse: «D’un point de vue historique, l’hypothèse la plus plausible est que ses disciples ont fait disparaître son corps pour faire croire qu’il était ressuscité»
Si l’on omet la résurrection, qui est l’un des piliers de la foi chrétienne, les disciples auraient foutu le feu au cadavre de Jésus ou balancé son corps à la flotte afin de duper les simples d’esprit.
Question 4: A-t-il été crucifié ou lapidé?
Réponse: «D’un point de vue romain comme juif, la crucifixion de Jésus a du sens. C’était le sort réservé aux rebelles et il en était assurément un aux yeux de certains.»
Aux yeux de qui? Cet historien laisse planer un doute suspect…
Question 5: Est-ce la faute des Juifs, comme le prétendent les Évangiles?
Réponse: «Ce qui ressort des quatre Évangiles canoniques reconnus comme tels entre le IIe et le IVe siècle, et c’est une simplification monumentale, c’est que Jésus est mort à l’incitation des Juifs, déplore l’actuel président de l’Académie suisse de sciences humaines et sociales. Ils soutenaient cela par pur intérêt politique et religieux. C’est un facteur important dans l’antisémitisme contre ceux qu’on désignait encore naguère comme un ‘peuple déicide’, un préjugé qui a traversé toute l’Histoire et qui a aussi été utilisé comme justification à la Shoah.»
«D’après ce récit (ndlr: l’évangile de Jean), Ponce Pilate essaie d’acquitter Jésus mais le condamne sous la pression des autorités religieuses juives. Ce passage a probablement été inventé.» Toujours dans le but de pointer les mêmes responsables, à des fins politiques.
Il faut retenir grosso modo que Jésus était un politicien antisémite comparable à Adolf Hitler. Les disciples étaient une esquisse des Waffen-SS et les juifs déjà des victimes de la haine des chrétiens. Cette réalité avait été dissimulée par l’Église catholique, sorte de Troisième Reich qui, grâce à un outil de propagande ultra sophistiqué, a maintenu la croyance millénaire et infondée de la culpabilité des Juifs dans l’assassinat du Führer de Nazareth. Grâce à Vatican II, la vérité a été rétablie et le règne de la tyrannie abrogé.
Question 6: Jésus et ses apôtres, pas si non violents?
Réponse: «Dans chacun des quatre Évangiles, l’entourage de Jésus est armé au moment de son arrestation, note Jean-Jacques Aubert. Jean raconte que Pierre a coupé l’oreille d’un serviteur du grand prêtre. Ces récits pourraient expliquer pourquoi, aux yeux de certains de ses contemporains, Jésus était considéré comme un chef de bande…»
Pour finir, nous apprenons que Jésus était une racaille entourée de lascars qui n’hésitaient pas à sortir le schlass pour se faire respecter.
Grâce au Blick, nous sommes informés sur les réelles circonstances de la mort du Christ. Heureusement que ce média existe.