Le Blick nous relaie les exploits d'un bogmoule en cavale
Des nouvelles du Michael Scofield maghrébin
Tout commence en 2014. Un baiseur de chèvres d'origine tunisienne se voit refuser sa demande d'asile dans le canton d'Argovie. Bien décidé à profiter de la molesse de notre système, celui qui aurait dû prendre un aller simple direction Tunis n'a en réalité jamais quitté le pays.
Mieux encore, l'enrichisseur tunisien s'est rendu coupable de dizaines de délis allant de la vente de drogue aux agressions de personnes, jusqu'à se faire finalement incarcérer en 2019 (où il détruira sa cellule de prison, à vos frais, bien-entendu). Par ailleurs, la police l'aurait arrêté une dizaine de fois à Olten entre 2017 et 2019, sans qu'aucune initiative n'ait été prise par nos autorités afin de le renvoyer dans son trou à merde.
C'est en octobre 2022 que celui qui était voué à une brillante carrière de physicien nucléaire réussit à s'échapper d'un véhicule de détention devant l'office des migrations à Aarau, et prendre la fuite. Depuis, plus rien n'avait été communiqué à propos du Michael Scofield maghrébin, jusqu'à ce que Le Blick nous fasse l'éloge de ses aventures trépidantes la semaine dernière.
On y apprend que le bogmoule mène la belle vie entre Paris et Vienne. Il affirme même être revenu quatre fois en Suisse depuis son évasion. Et comme le bon beur qu'il est, il tente évidemment de se faire passer pour la victime.
Si l'on en croit son insupportable récit de chialeuse insolente, le bougre serait en réalité victime du radinisme dont fait preuve l'État suisse envers ses envahisseurs, ce qui l'aurait conduit à la délinquance. Mohamed Scofullah a même le culot de se revendiquer comme une personne « pas dangereuse et qui n'a blessé personne », après avoir agressé au moins quatre personnes sur le territoire suisse.
Le pire dans cette histoire reste sans doute l'insolence avec laquelle ce fourreur de brebis œuvre sur les réseaux sociaux. Il y poste régulièrement des vidéos de drogue et se filme en narguant les autorités, incapables de mettre la main sur ce débile profond.
Cet exemple reflète parfaitement le laxisme et l'incompétence des autorités européennes, totalement démunies face à l'invasion migratoire.