Le bol de riz empoisonné, acquis par les chandeliers, banni le jus d'orange
Quelle époque, mes amis, quelle époque

TikTok, tic, tac...

Non, ce n'est pas ma liste de commissions ou une recette "trendy" (encore que...), c'est un nouveau cas de censure venu des suspects habituels.
Ceux que d'aucuns de notre camp soutiennent mordicus et nous disent, "c'est pas tous, y'en a des biens".
Sans doute, ces patriotes "jambon-beurre" vont-ils de nouveau mettre cette information sous le tapis, tellement la peur d'être comparé au Diable sur terre hitlérien, bien que mort il y a quatre-vingt ans, est tenace.

Après les inénarrables aventures d'Elon Musk à la visite des piles de chaussures, les recommandations anti-blanches de l'ADL américain, ou notre très (((helvétique))) CICAD qui voudrait bien notre peau, ça en fait, du pouvoir de nuisance, pour un si petit pourcentage du monde blanc, auquel on nous jure pourtant qu'ils appartiennent.

C'est quand même souvent de chez eux, qu'elles viennent, les attaques anti-blanches, anti-famille, anti-tradition...

On nous accuse souvent d'être des monomaniaques de la question juive. Alors, dans le cas de Swarya, c'est possible, mais ça le rend très précis dans ses dossiers à charge.
Mais là, avec l'acquisition, saluée par Netanyahu, de TikTok par un vétéran de Tsahal, j'en connais des plus mesurés qui pourraient souligner quelques menus risques d'ingérence.

Ce n'est pas, en effet comme si déjà plusieurs des grands réseaux sociaux leur étaient acquis...
Et bien, figurez-vous, que TikTok, qui fut l'année passée le théâtre d'une vraie déferlante de contenu judéo-sceptique, d’édits natsocs et de discours traduits d'Hitler, vient de rabattre le caquet de ses utilisateurs en interdisant...
Un émoticône.

Un putain d'émoji en forme de berlingot de jus de fruits au prétexte que tout le monde l'utilise pour dire, à couvert, "the juice", entendre "the Jews".
Pour un peuple élu, on pourrait s'attendre à moins de fragilité.
Ce à quoi nous répondons:

"Tag, Leute. Möchten sie ein Apfelsaft🧃?"
Les Goyim commencent à comprendre l'entourloupe.
Tic, tac, tic, tac, tik, tok...
