Le conseil communiste lausannois veut désarmer la police
Parce que la police tue
Le conseil communal le plus gauchisant du pays a accepté une motion visant à désarmer la police municipale.
La majorité – de gauche – de l’organe législatif a accepté, lors de sa séance de ce mardi, le postulat déposé par le député des Vert-e-s Ilias Panchard: «Projet pilote pour une police de proximité sans arme à feu». Celui-ci demande à la Ville de rendre un rapport sur la possibilité qu’au moins une partie des agents de police se rendent sur le terrain sans arme à feu.
C'est à nouveau le Verdâtre à keffieh Ilias Panchiard qui est à l'origine du postulat.
Une mesure de désescalade essentielle, selon les élus de gauche interrogés par le quotidien vaudois, par exemple dans des cas de conflits de voisinage ou de manifestations politiques.
Ces mêmes gauchistes qui veulent voir la police tirer à balles réelles sur les cortèges de supporters souhaitent la désarmer lorsqu'elle doit intervenir dans des manifestations antifascistes ou lorsqu'un voisin dérape légèrement, comme mardi dernier à Malley.
Même si nous savons déjà que c'est une idée de merde, prenons le temps d'analyser l'impact d'une police désarmée sur les infractions et la criminalité d'une ville.
À Londres par exemple, la plupart des policiers ne sont équipés que de menottes, de matraques télescopiques et de sprays au poivre.
Et le pire dans tout ça, c'est que beaucoup renoncent d'eux-mêmes à porter une arme par peur d'être emprisonnés s'ils abattaient un criminel dont la peau serait suffisamment foncée pour que les crétins du genre de Panchiard brandissent la carte du racisme systémique.
L'arme à feu assure à la police le droit de répondre de manière proportionnelle lorsque sa sécurité ou la vie d'un citoyen en dépend.
Retirer à la police le seul instrument dissuasif qui permet de faire face à une délinquance ethnique, dont le respect pour les forces de l'ordre est déjà inexistant, n'aura pour seul effet que l'augmentation des crimes et des incivilités.
La ville de Londres, désormais connue pour être la capitale européenne des agressions au couteau, en est le parfait exemple.
Rappelons que les décès imputables à des violences policières dans le canton de Vaud ces 20 dernières années s'élèvent au nombre de 4. Tous étaient d'origine africaine.
Les gens normaux, comme vous et moi, percevont cette information comme un indicateur de la surreprésentation des Africains dans la criminalité. Les gens atteints de déficit mental, eux, y verront une preuve indéniable de l'existence du racisme systémique dans la police, qui justifie le désarmement de celle-ci.
Il ne reste plus qu'à espérer que cette mesure leur revienne rapidement en pleine gueule.