Le Conseil fédéral admet que les LGBT sont des êtres supérieurs

Depuis le temps que nous le disions

Le Conseil fédéral admet que les LGBT sont des êtres supérieurs

La plus stricte vérité. Nous n'en attendions guère plus du Conseil fédéral composé d'hommes et de femmes d'une sagesse christique.

20min.ch

Le Conseil fédéral a choisi de ne pas trop se mouiller en répondant à une interpellation du conseiller national Nicolas Kolly (UDC/FR). Celui-ci lui avait posé deux questions à propos d'événements publics récents, l'un à Genève et l'autre à Fribourg, où «seules les femmes et personnes de la communauté LGBT pouvaient participer», selon l'élu. Exclure ainsi les hommes cisgenres hétéros est-il conforme à la constitution et ne viole-t-il pas l'article 261bis du Code pénal qui interdit la discrimination basée sur l'orientation sexuelle?

Les invertis fribourgeois avaient en effet rendu possible les soirées en non-mixité choisie et la discrimination sur la base de l'orientation sexuelle. La Hallebarde avait trouvé l'idée formidable.

La ségrégation de genre introduite en Romandie par Fri-Son
On valide le concept à 100%
Ce n'est pas à nous d'en juger, a répondu en substance le Conseil fédéral. Il s'est malgré tout lancé dans une petite recherche juridique. La Constitution interdit la discrimination, certes. Mais jusqu'à aujourd'hui, «le Tribunal fédéral n’a pas tranché la question de savoir si l’interdiction de la discrimination doit protéger en premier lieu les groupes en butte à une dépréciation, tels que les femmes ou les personnes LGBT, ou s’il s’agit d’une interdiction générale», relève-t-il. En concluant: «il revient aux tribunaux de déterminer si l’organisation des événements mentionnés était illicite».

Le Tribunal fédéral peine à se prononcer définitivement. Il ne faudrait tout de même pas vexer les travelos de droit divin.

Observez un peu toutes ces arguties pour valider le fait que les hommes hétéros cisgenres sont effectivement des sous-hommes dans cette société reconfigurée autour du pourtour anal.

Et dire que ces magistrats sont censés représenter une forme d'élitisme dans ce pays devenu le royaume des sodomites.

Quant au Code pénal, idem. Aux tribunaux de le dire. Mais là aussi, la réflexion est menée. «Pour être punissable, le comportement de l’auteur doit être dicté par l’intention de porter atteinte à la dignité des personnes concernées», rappelle le Conseil fédéral. Or, dans le cas présent, pas sûr que ce soit le cas, semble suggérer le gouvernement. «L’exclusion d’un groupe de personnes n’ayant pas pour objectif de porter atteinte à leur dignité mais au contraire d’offrir un cadre sécurisé à d’autres groupes ne constitue pas en soi une discrimination», dit-il. Sa conclusion: «Le Conseil fédéral ne saurait se prononcer sur la punissabilité des organisateurs des événements mentionnés.»

« Dignité », ce concept d'une absolue objectivité, n'est pas valable dès lors que notre particularité n'est pas inscrite dans le code pénal. Comme les hommes hétéros cisgenres sont des gens normaux, rien ne peut justifier leur protection ou une quelconque position de victime de discrimination.

Le fait d'apprécier différemment une situation d'après l'orientation sexuelle est une discrimination, qu'importe les contorsions juridiques qu'on cherche à nous faire avaler.

Nous serons systématiquement perdants tant que nous n'aurons pas abrégé cet article anticis'.

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