Le fondateur de Telegram passe par la case prison

Traduction :

ACTU : PAVEL DUROV RISQUE 20 ANS DE PRISON EN FRANCE

Le fondateur de Telegram, Pavel Durov, doit comparaître devant un juge samedi soir. Il est accusé de terrorisme, de trafic de drogue, de fraude, de blanchiment d'argent et de contenu pédopornographique.

Les médias français rapportent que M. Durov, qui possède la double nationalité française et russe, risque jusqu'à 20 ans de prison.
Son arrestation est attribuée à l'absence de modération des contenus par Telegram et à son manque de coopération avec les forces de l'ordre françaises.

Les accusations découlent d'un mandat de perquisition délivré par la Direction nationale de la police judiciaire française.

20 ans de prison donc, pour avoir tenté une petite escapade romantique à Paris, capitale européenne du sexe anal. Tant pis pour le rendez-vous galant, j'imagine. 

L'hypothèse souvent entendue est que la copine de Pavel publiait tout sur Instagram et que les services ont pu faire le lien direct avec Pavel Durov. Possible. Le plus vraisemblable est que son identité et son itinéraire de vol privé ait déjà été transmis aux autorités compétentes par la procédure en vigueur (API) et qu'il a été coincé par surprise. En somme, Pavel aurait plutôt péché par excès d'optimisme vis-à-vis des dites démocraties, qui ne font qu'exécuter les ordres en provenance de Washington.

Les charges à son encontre sont évidemment bidon, elles sont du même tonneau que celles données contre le bitcoin ou l'argent liquide : Des criminels ont échangé par Telegram, donc Pavel Durov est complice. Pavel offre un service, des criminels l'utilisent, donc Pavel est coupable. Voilà un peu le niveau.

Non, ce qui emmerde les gouvernements démocrates, c'est de voir que l'on puisse exposer l'étendue de leur corruption devant des millions d'abonnés sans qu'ils ne puissent intervenir. Si le terrorisme était vraiment une inquiétude centrale, l'Europe ne serait pas envahie par des millions d'allogènes islamisés. 

Progressivement, s'exprimer devient un délit. Donner les moyens de le faire, un crime : Telegram, Rumble, Gab et Twitter dans une moindre mesure sont menacés. 

Quoique, Macron assure qu'il n'y est ABSOLUMENT pour rien et que ce n'est pas du tout politique.

Musk se tient à carreau

Musk a sorti quelques marrons du feu en cirant les pompes de toute la juiverie internationale. Beaucoup d'efforts pour obtenir une liberté d'expression très relative : Kevin Mc Donald, Andrew Anglin, Jared Taylor et Boris Le Lay sont toujours bannis. Même La Hallebarde a subi une suspension le mois dernier. 

Tout cela pour subir quand-même les menaces de l'escroc Thierry Breton.

Le Figaro

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Enquête en cours contre X

Au-delà de la nature des propos qui pourront être échangés entre Elon Musk et Donald Trump, qui signera à cette occasion son grand retour sur un réseau dont il avait été banni en 2021, Bruxelles s’inquiète des commentaires et des partages de l’évènement par des utilisateurs de X qui pourraient donner lieu à une vague de propos illicites ou préjudiciables. Or, «comme vous le savez, des enquêtes sont déjà en cours contre X au nom de DSA, notamment sur la question de la dissémination des propos illégaux et la robustesse des mesures mises en place pour lutter contre la désinformation», pointe le Commissaire. Le comportement des équipes de modération en ce lundi soir sera donc scruté de près par les enquêteurs, et pourra aggraver le dossier du réseau social qui risque une amende représentant 6% de ses revenus annuels. 

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Le patron de Rumble prend la poudre d'escampette

Journal du Coin

Chris Pavlovski, le fondateur et PDG de Rumble décide de quitter l’Europe par peur d’être arrêté lui aussi

Dans un message publié sur le réseau social X le 25 août à 12 h 44, Chris Pavlovski a donc fait la déclaration suivante :

« J’arrive un peu en retard, mais pour une bonne raison : je viens de quitter l’Europe en toute sécurité.

La France a menacé Rumble et maintenant, elle a franchi une ligne rouge en arrêtant le PDG de Telegram, Pavel Durov, apparemment pour ne pas avoir censuré les discours.

Rumble ne tolérera pas ce comportement et utilisera tous les moyens légaux à sa disposition pour lutter pour la liberté d’expression, un droit humain universel. Nous menons actuellement un combat devant les tribunaux français et espérons la libération immédiate de Pavel Durov. »

Chris Pavlovski, PDG et fondateur de Rumble – Source : Compte X

C'était la seule décision à prendre. 

Et les autres...

• Kim Dotcom, (fondateur de Megaupload) qui vit toujours en Nouvelle-Zélande, est maintenant face à un mandat d'extradition vers les États-Unis. 

Le Monde

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Paul Goldsmith, a annoncé dans un communiqué transmis à l’agence Reuters avoir signé un ordre d’extradition du fondateur de Megaupload. « J’ai examiné toutes les informations avec attention, et j’ai décidé que M. Dotcom devait être remis aux Etats-Unis pour être jugé », a-t-il déclaré, en ajoutant qu’il lui laissait « une courte période » pour prendre conseil auprès de ses avocats.

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• Les frères Tate sont à nouveau en sursis, cette fois pour avoir dit des trucs sur les juifs. 

Ils ont certes un passé louche dans le business des sexcams, et c'est ce qui a été utilisé contre eux à plusieurs reprises.

• Alex Jones doit plus d'un milliard de dollars pour avoir douté du massacre de Sandy Hook.
  

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Il avait déjà été condamné à payer presque 1 milliard de dollars (981 millions d’euros) aux familles de victimes du massacre de l’école primaire de Sandy Hook, dont il a nié la réalité. Alex Jones devra leur verser 473 millions de dollars supplémentaires en dommages et intérêts, a décidé, jeudi 10 novembre, Barbara Bellis, magistrate du Connecticut.

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Alex Jones, propriétaire d’Infowars, avait affirmé sur son site et sur ses réseaux sociaux que les victimes étaient des « acteurs » et que la tuerie était une « mise en scène pilotée par des opposants aux armes à feu ». Une théorie conspirationniste qui a essaimé sur Internet, et incité de nombreux sympathisants du complotiste à s’en prendre directement aux familles des victimes, ainsi qu’à un agent du FBI présent le jour du drame.

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Il semblerait que les tribunaux qui l'ont condamné aient cherché une sanction plus absurde encore que sa théorie.

Mais que font ces gens encore dans un pays aligné sur Washington?

En dehors d'Andrew Anglin qui vit dans la plus grande clandestinité, de Boris Le Lay au Japon, que font tous ces influenceurs, écrivains et développeurs libertaires encore à l'intérieur de pays soumis aux intérêts judéo-mondialistes ?

Tout individu avec une large audience refusant de la fermer est menacé : mauvaise presse, ruine financière, prison, assassinat. C'est le procédé conventionnel utilisé contre la dissidence. Mais après tout, c'est toujours mieux de tout perdre que d'avoir passé sa vie dans la lâcheté.

Honneur aux braves, ils sèment la voie que nous devrions tous emprunter.