Le gardien du FC Lucerne dans la tourmente après des «déclarations homophobes»
Bientôt, ne pas être gay sera considéré comme de l'homophobie
Une fois n’est pas coutume, l’immense fragilité d’une petite minorité de personnes bien trop bruyantes parvient à mettre à mal ce concept en voie de disparition qu’est la liberté d’expression. Cette fois-ci, c’est le gardien du FC Lucerne Marius Müller qui est victime de l’hystérie collective et médiatique pour avoir tenu des propos que ces ultra-sensibles qualifient d’homophobes.
Après la défaite de son équipe face à Saint-Gall (4-1), le portier lucernois, énervé, a tenu les propos suivants: «Je m’attends simplement à ce que nous nous jetions devant le ballon à six mètres du but, comme les défenseurs italiens. Si je me prends un ballon dans les c***lles ou dans la gu*ule, tant pis. Mais cette manière gay de se détourner, ça m’énerve vraiment».
Penchons-nous un peu sur cette phrase afin d’y cerner l’homophobie crasse dénoncée par la quasi totalité des journalistes mainstream. Marius fait ici référence à la manière d’agir peu masculine d’une grande majorité des adeptes de la sodomie. Toute personne pourvue d’un minimum d’honnêteté et de bon sens devrait être amenée à comprendre que cette phrase n’a pas été assénée comme une attaque volontaire au peuple gay, mais qu’il s’agit d’un simple pic taquin envers des coéquipiers, lancé sous le coup de l’émotion après une cuisante défaite.
Son club et la Ligue ne semblent pas du même avis, puisque le jeune Fritz, en plus du déferlement médiatique qu’il a subi, risque une suspension et se verra infliger une amende pour «déclarations choquantes, insultantes ou injurieuses».
Cette pression exercée par les médias de gauche, traquant la moindre déclaration qui s’écarterait de leur ligne politiquement correcte, est tout bonnement insupportable. En tant que fervent défenseur de la liberté d’expression, la Hallebarde apporte tout son soutien à Marius, victime de ce monde de dégénérés où règne la censure et les crises d’hystérie quotidiennes des bien-pensants.