Le gouvernement allemand veut noyer sa population sous des millions de migrants
Bons baisers de Cologne
Jalouse de sa voisine la France, l’Allemagne veut essayer de l’égaler sur le plan migratoire. On lui souhaite plein échec dans cette démarche.
La ministre allemande de l’Intérieur Nancy Faeser prépare un texte pour assouplir les lois sur l’immigration. Cela doit permettre d’accorder un titre de séjour à des dizaines de milliers de personnes immigrées bien intégrées en Allemagne, mais toujours en situation irrégulière.
La situation de ces personnes déboutées du droit d’asile, mais non-expulsables en raison de la situation politique de leur pays d’origine, revient régulièrement au coeur du débat politique en Allemagne. Elle était au centre de l’une des promesses de campagne des libéraux et des écologistes, associés aux sociaux-démocrates au sein de la coalition qui a remporté les élections législatives allemandes fin 2021.
Cette coalition allemande veut submerger le pays sous une immigration massive dans le but de satisfaire les plans de retraite des boomers hystériques à l’idée de devoir bosser quelques années de plus pour compenser leur défaut de procréation.
On retrouve ici la même alliance malsaine que celle décrite dans notre article concernant la Suisse. Cette conspiration de l’enfer qui se drape des oripeaux de la moralité ne peut être effective que dans un paradigme démocratique libéral.
Tout le monde y trouve son compte:
- Les Libéraux, pour la main d’œuvre bon marché qui, à terme, nivellera les salaires vers le bas.
- Les écolo-gauchistes, pour un bassin d’électeurs assuré lorsque ces derniers seront naturalisés.
- Les sociaux-démocrates, pour financer leur retraite et assurer la pérennité du système social.
Environ 100’000 d’entre elles vivent depuis plus de cinq ans en Allemagne, reconduites d’un titre de séjour temporaire à l’autre, privées de la possibilité de se projeter dans l’avenir. Pour les libéraux du FDP, cette situation est absurde.
« De nombreux maires, de nombreux artisans se plaignent que nous expulsons les mauvaises personnes. Dans la plupart des cas, on n’arrive pas à se débarrasser des criminels et des personnes dangereuses. Mais les familles bien intégrées, les jeunes qui ont trouvé un emploi, qui parlent allemand et sont culturellement bien intégrés, ceux-là, on veut les expulser », déplorait notamment le député FDP Stephan Thomae au micro de la radio Deutschlandfunk.
Il n’y a pas que les pauvres déboutés du droit d’asile qui n’arrivent pas à se projeter dans l’avenir, mais toute la jeunesse européenne. Le système globaliste ne propose rien qui procure confiance et espérance en l’avenir, ce qui tend à aggraver la vague de dépression que subissent les jeunes.
Il est donc contraint de trouver des substituts de projets collectifs dans des causes initialement nobles comme l’écologie qu’il dévoie ensuite pour en faire une nouvelle chasse gardée des capitalistes, au détriment même de l’environnement qu’il prétend vouloir protéger. Le niveau d’inversion est tout bonnement satanique.
Une situation d’autant plus absurde que les économistes et démographes sont unanimes: avec les systèmes actuels, il faudrait quelque 400’000 arrivées par an pour financer les mécanismes de protection sociale en Allemagne, en raison du vieillissement tendanciel de la population.
Il serait donc plus judicieux de garder les étrangers déjà intégrés dans le pays que, par exemple, de lancer des campagnes de recrutement dirigées vers l’Asie ou l’Amérique latine, à l’instar de celle lancée par le gouvernement d’Angela Merkel pour attirer des infirmières, avec un succès mitigé.
Le vieillissement de la population allemande n’est pas plus tendanciel qu’en Suisse:
Ni en moyenne par rapport aux autres pays d’Europe:
Cette réalité prophétisée depuis des décennies a été planquée sous le tapis en étant qualifiée de nauséabonde. Aujourd’hui, on nous explique que pour y faire face, il est indispensable d’importer des centaines de milliers de migrants chaque année si l’on veut préserver notre havre de paix démocratique et son système social.
Il paraît que c’est complotiste, mais tout de même. À ces niveaux de quantités industrielles, c’est à se demander s’il n’y a pas la volonté préméditée de faire disparaître les Blancs.