Le grand remplacement: une théorie complotiste d'extrême droite?

Les hommes mentent mais pas les chiffres

Le grand remplacement: une théorie complotiste d'extrême droite?

Beaucoup d’entre vous ont certainement entendu ce terme durant les élections présidentielles en France, utilisé notamment par Éric Zemmour, qui en a fait un des principaux sujets lors de sa campagne. Développée dès la fin du XIXe siècle, la théorie du grand remplacement connaît une résurgence dans les années 2010 avec l’ouvrage de l’écrivain et militant politique français Renaud Camus. Le grand remplacement désigne un processus par lequel un peuple autochtone est remplacé à terme par une population issue de l’immigration. Décrit par les gauchistes et les médias mainstream (y compris la RTS et son journaliste impartial, Léo le rigolo) comme un fantasme d’extrême droite, le grand remplacement semble pourtant un phénomène bien réel, que l’on peut constater dans de nombreux pays européens, et tout particulièrement en Suisse.

« l’esstreme drouate »

Afin de traiter ce sujet de manière impartiale, contrairement aux gauchistes névrosés, nous allons nous pencher sur les chiffres officiels de l’Office fédéral de la statistique sur la migration. Ce sont nos confrères du journal «Le Temps», qui avaient pour la première fois relevé ces chiffres catastrophiques dans un article datant de 2015.

En 2013, chez les enfants de 0 à 6 ans, les Suisses de souche étaient déjà minoritaires. 53,6% des plus jeunes habitants du pays naissent de couples issus de la migration ou de couples mixtes. La moitié des mariages sont désormais conclus entre des conjoints suisses et étrangers, ou entre deux étrangers. La proportion de Suisses sans racines migratoires récentes dans la population totale a baissé de 70,4% en 2003 à 64,4% en 2013, puis est passée à 60% en 2020.

Ces chiffres sont alarmants. Chaque année, la population non issue de la migration est en baisse, alors que celle issue de la migration est en constante augmentation. Ce phénomène est dû à une forte immigration ainsi qu’ à un plus faible taux de natalité chez les Suisses de souche par rapport aux étrangers.

La proportion la plus flagrante d’habitants d’origine étrangère se trouve bien évidemment dans les villes. Dans certaines écoles, la proportion d’élèves d’origine étrangère peut atteindre plus de 80%.

Classe d’école lambda à Renens

Autre fait révélateur relayé dernièrement par le sous-média du «20 Minutes»: les noms de famille les plus portés en Suisse. Bien qu’à l’échelle nationale les noms sur le podium restent d’origine alémanique (Müller, Meier, Schmid), en Suisse romande ce n’est pas les Pittet ou les Rochat qui pointent à l’horizon, mais les da Silva, Perreira, dos Santos et Rodrigues. Bien que les Portos aient objectivement tous le même nom, cela démontre bien l’impact de la migration de masse sur la population de notre pays.

Notre futur plat national

Selon le démographe genevois Philippe Waner, dans cent ans, si l’immigration se poursuit à ce rythme, nous aurons plus de 50 à 55% de gens issus de l’immigration et 70% chez les 0-6 ans, dans une Suisse d’environ 12 millions d’habitants.

Si l’on regarde les chiffres de Eurostat, seuls le Luxembourg et le Liechtenstein ont une proportion de population née à l’étranger plus importante que la Suisse.

Espèce en voie d’extinction

Les gauchistes peuvent tenter infiniment de cacher la merde sous le tapis, les chiffres, eux ne mentent pas. Suite à ces dix dernières années d’immigration massive totalement incontrôlée, malgré les tentatives de l’UDC de limiter la casse, la sentence semble irrévocable: le Suisse de souche se retrouvera bientôt en infériorité numérique dans son propre pays. Le grand remplacement n’est donc pas un fantasme ou un complot, mais bien une triste et sombre réalité.

Afin de limiter les dégâts certainement irréversibles dus à la politique migratoire délirante exercée par nos dirigeants, il est de votre devoir, jeunes Suisses, d’agir et de préserver votre peuple! Puisque la diminution de l’immigration au niveau politique semble inextricable, la seule solution afin de lutter contre l’extinction du peuple Suisse reste encore l’augmentation de la reproduction entre autochtones. Chers compatriotes, faites des enfants, la survie de notre civilisation en dépend!

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