Le lobby LGBTQPed en faveur de la transmission sans danger de la variole du singe
Ce n'est rien d'autre qu'une exigence de plus à satisfaire
AVERTISSEMENT: les âmes sensibles et facilement sujettes aux haut-le-cœur ne devraient pas lire cet article aux tournures de phrases parfois trop imagées.
S’éclater la rondelle entre hommes à s’en déchirer le rectum, le tout sans protection, doit à tout prix rester une activité praticable en toutes circonstances dans une démocratie digne de ce nom.
Pink Cross, une des associations qui mettent la pression sur les politiques selon la Conseillère d’État vaudoise Rebecca Ruiz, nous fait part des revendications de ces orifices qui se sentent menacés de ne plus être comblés.
En Suisse, de nouveaux cas de variole du singe sont recensés chaque jour. Pour l’heure, ce sont presque uniquement des hommes ayant du sexe avec des hommes qui sont atteints. Pour lutter, un vaccin sûr, des tests fiables et des médicaments efficaces existent. Mais pas en Suisse ! Signe maintenant pour que le Conseil fédéral prenne des mesures !
Cette variole en a après l’anus des invertis. Homophobe au dernier degré, ce virus est clairement d’extrême droite. Malgré ça, le Conseil fédéral traîne les pieds dans la lutte contre ce fléau qui ravage les culs les plus téméraires pour se donner à tout venant sur Grindr.
Nous demandons au Conseil fédéral de déclarer immédiatement la « situation particulière ». Le gouvernement doit commander de manière centralisée des vaccins et des médicaments et permettre aux hommes gays, bisexuels et queer de se protéger de la variole du singe !
Apparemment, les hommes hétéros (synonymes de beaufs ringards), quand bien même ils seraient atteints de cette espèce de lèpre anale, ne doivent pas pouvoir bénéficier des mêmes droits que les sodomites.
Depuis le 21 mai 2022, plus de 330 personnes (état au 10 août 2022) ont été testées positives à la variole du singe. Le chiffre réel est plus élevé, car l’accès aux tests est très restreint. Au vu de l’explosion effrayante de cas au niveau mondial, l’OMS a déclaré la situation d’urgence sanitaire de portée internationale. Dans de nombreux pays européens, aux Etats-Unis ou au Canada, les hommes gays, bisexuels et queer peuvent depuis longtemps se faire vacciner facilement, souvent gratuitement et sans rendez-vous.
Mais pas en Suisse : depuis des semaines, les autorités « étudient » la possibilité de rendre le vaccin disponible. On accepte ainsi sciemment que de nombreux hommes gays, bisexuels et queer soient atteints par la variole du singe – alors que les infections et la diffusion du virus seraient évitables. Et aucun médicament antiviral efficace contre la variole du singe n’est autorisé en Suisse. Cela doit changer immédiatement !
L’élargissement sphinctérien hebdomadaire par des dizaines d’adeptes aléatoires doit être maintenu, quoi qu’il en coûte à la population trop arriérée pour comprendre les bienfaits de cette pratique moderne et progressiste. Empêcher cela, comme cherche à le faire le sbire éthiopien de Bill Gates à la tête de l’OMS, c’est faire un premier pas vers le fascisme hétéronormé, et nous ne pouvons le tolérer. No pasarán! scandent les jeunes socialistes aux derches pustuleux dégoulinant de semence masculine.
En déclarant la « situation particulière », le Conseil fédéral aurait la possibilité d’agir plus vite et plus efficacement et de protéger ainsi notre communauté et la société dans son entier. Concrètement, le gouvernement doit :
Se procurer sans délai le vaccin efficace contre la variole du singe (Imvanex), accélérer son autorisation et permettre un accès facile à la vaccination. Pour cela, il faut des doses suffisantes pour protéger les personnes les plus à risque et le personnel soignant.
Il faut penser à l’intersectionnalité des vaccins. Afin de réaliser des économies d’échelle, Pfizer devrait faire d’une pierre deux coups en créant un produit actif contre le Covid et la variole du singe. Pour plus d’inclusivité, l’idéal serait de l’adapter en suppositoire d’un diamètre respectable.
Autoriser rapidement les médicaments antiviraux efficaces (p.ex. le Techovimirat) et les mettre à disposition des cantons.
Alors que nous sommes démunis face au rhume qui touche des millions d’êtres humains chaque année, il est aujourd’hui possible pour des séropositifs d’éjaculer du sperme infecté dans une cavité rectale fissurée par le coulissement répété d’une verge en érection sans transmettre le sida. Prodigieux paradoxe de notre civilisation supérieure…
Permettre un accès facile et gratuit aux tests, pour interrompre le plus vite possible les chaînes de transmission.
Pour interrompre les chaînes de transmission, la limitation temporaire des orgies sous 3-MMC et l’utilisation de préservatifs restent les solutions les plus rapides. Mais osons les mots, ce serait stigmatisant et contraire aux valeurs démocratiques.
Vous aussi, signez la pétition pour que le Conseil fédéral alloue une partie de votre argent dans la lutte contre la maladie du fion purulent.