Le mytho neuchâtelois scarifié à bas QI se grille tout seul
Mentez, calomniez, il en restera toujours quelque chose
En janvier dernier, toute la toile était en émoi face au retour des milices hitlériennes et aux ratonnades d’allogènes dans les rues de Neuchâtel qui, comme tout le monde le sait, est la capitale romande du national-socialisme.
Selon un métis hagard, une dizaine d’individus d’extrême droite l’auraient poursuivi en imitant des cris de singe, l’auraient tabassé pour finir par lui graver la marque de la bête sur la joue droite. Plutôt que de tendre la joue gauche, cet ingrat est allé se plaindre auprès de la police de ce tatouage pas franchement réussi, on le lui accorde.
4 mois plus tard, la situation a quelque peu changé.
Une affaire de prétendue agression raciste à Neuchâtel avait connu un retentissement médiatique gigantesque, en janvier. Elle se dégonfle considérablement et prend une nouvelle tournure. Le Ministère public neuchâtelois a annoncé vendredi que la plainte du jeune métis qui avait posté sur Instagram des photos de sa joue scarifiée avec une croix gammée a été classée. L’autorité de poursuite pénale se retourne contre le plaignant: une procédure pour induction de la justice en erreur a été ouverte.
Dans sa déclaration, le jeune homme avait notamment mentionné avoir été attaqué par une dizaine d’individus germanophones qui auraient également émis des «cris de singe».
Cette information sur les blonds n’était pas présente dans le premier article. La germanophobie de ce métis neuchâtelois est une situation aggravante, j’espère que le Ministère public en tiendra compte.
L’enquête menée par la police révèle beaucoup d’incohérences dans la description des faits. Les enquêteurs ont notamment pu déterminer que celui qui disait avoir été agressé dans un jardin public neuchâtelois avait déjà des traces de blessures avant la date à laquelle il prétend avoir subi «l’attaque raciste».
C’est donc une nouvelle affaire qui commence avec le plaignant dans la peau de l’accusé. Le jeune homme, lui, continue de maintenir sa version des faits.
Ce mythomane compulsif s’est probablement fait taillader lors d’un deal foireux et il accuse Hans et sa bande d’avoir voulu améliorer l’aspect visuel de son visage marron à l’aide d’un couteau suisse. Tout ça pour un peu de célébrité et de compassion sur les réseaux sociaux.
Dieu puisse saisir le marteau du juge en charge de ce dossier et condamner lourdement le métis haineux de l’homme germanique innocent, sûr de lui-même et dominateur.