L'égérie des trans suisses avoue regretter son changement de sexe
Attention, article transphobe
Christian Brönimann, devenu Nadia il y a vingt-six ans, est apparemment le travelo le plus célèbre du pays.
Oui, moi aussi je me serais bien passé de cette information. En revanche, le reste de l'article vaut le détour.
Dans une interview à la «SonntagsZeitung», la femme trans aujourd’hui âgée de 55 ans tire ouvertement un bilan amer de son changement de sexe et regrette sa décision.
Tiens donc. S'acharner à tout prix en agissant à l'encontre de la nature et ce que Dieu a créé ne procurerait finalement pas un si grand bien-être. Nous sommes ébahis.
Admettre que le changement de sexe ne lui a pas apporté le bonheur tant attendu a été long et douloureux. Mais il est encore plus douloureux pour elle que la communauté trans la considère comme une traîtresse. Et la traite comme persona non grata depuis qu'elle a créé la page Instagram «detrans_schweiz» et qu'elle s'exprime ouvertement à ce sujet.
Les névrosés du lobby de la rondelle ne supportent pas qu'un trans qui est allé jusqu'au bout de sa folie destructrice regrette de s'être amputé son appareil génital. Pour eux, ce n'est ni plus ni moins que de la transphobie nauséabonde.
«Beaucoup de personnes trans luttent, surtout après l'adaptation physique, car elles remarquent qu'elles ne vont pas mieux pour autant sur le plan psychique ou parce qu'elles souffrent physiquement des conséquences des traitements», rapporte Nadia Brönimann.
Sous-entendre que passer des heures sur le billard du Docteur Frankenstein à se faire charcuter l'entrejambe afin d'y insérer une saucisse de veau équipée d'une pompe à vélo n'améliore pas la santé psychique est une honte ! De plus, aucune étude n'a révélé un quelconque danger concernant la prise quotidienne d'hormones à long terme ! C'est de la diffamation et de la transphobie !
Mais elles gardent souvent le silence, car comprendre que la transition n'a pas apporté le bonheur escompté est trop difficile. Et cela suscite aussi le rejet de la communauté trans: «La tolérance qu'on revendique si fort à l'extérieur n'est pas vécue dans ses propres rangs», déplore-t-elle.
À notre grand désarroi, le kandubien ne semble pas aussi tolérant qu'il le prétend. C'est tout à fait regrettable.
Nadia Brönimann critique depuis un certain temps déjà la manière dont sont pris en charge les jeunes qui se sentent trans. Elle estime qu'on les traite beaucoup trop tôt et trop rapidement avec des médicaments aux conséquences radicales: «Dans d'autres pays, on aborde heureusement le sujet avec plus de soin.
Ces paroles sont d'autant plus limpides qu'elles sortent de la bouche d'un transsexuel repenti.
Les jeunes ne peuvent plus se diagnostiquer eux-mêmes comme trans sans que personne ne puisse questionner ce diagnostic, comme c'est le cas en Suisse. De même, les bloqueurs de puberté ne sont plus guère prescrits à l'étranger sans examen psychologique plus approfondi. En Suisse, en revanche, les médecins spécialistes s'en tiennent imperturbablement à leur opinion.»
Mon camarade Swarya nous avait relaté un parfait exemple de cette folie. Je vous conseille vivement de le lire.
Il y a encore quelques années, la dysphorie de genre était reconnue par l'OMS comme une maladie mentale.
Il serait grand temps de revenir en arrière. Il est absolument vital pour notre jeunesse que la promotion de ce trouble psychiatrique cesse et que l'on propose une autre alternative à ces personnes qu'une stérilisation irréversible, que la plupart regretteront à long terme.