Les actes de protection de l'enfance ont plus que doublé en 2023
Une statistique offerte par une association LGBT
En cette journée du 17 mai, le lobby de la rondelle s'est à nouveau plaint d'un manque d'entrain dans l'acceptation de la sodomie pour tous.
À l'occasion de la journée internationale de lutte contre l'hostilité anti-LGBTIQ, l'association Pink Cross signale que la haine envers les personnes queer est toujours bien présente en Suisse. C'est en tout cas la conclusion que l'on peut tirer en se référant aux chiffres de la LGBTIQ-Helpline. En 2023, la ligne téléphonique a recensé 305 agressions commises contre des personnes queer, soit plus que le double constaté en 2022. Pour symboliser ce chiffre, Pink Cross a fait retentir 305 téléphones portables vendredi matin sur la place fédérale.
Cette action est tellement gênante.
L'augmentation des « agressions » est directement corrélée aux attaques incessantes que mène cette communauté contre l'ordre social et son évidente motivation à pervertir les individus dès l'enfance.
L'association déplore un nombre conséquent de signalements concernant les personnes trans, binaires et non binaires. Celles-ci représentent pas moins de 40% des agressions notifiées. Un tiers concerne des hommes gays et bisexuels. À l'échelle européenne, la Suisse se situe à la 17e place d'un ranking classant les pays du plus «queer-friendly» au moins. Figurent sur le podium des pays les plus ouverts envers les personnes queer Malte, l'Islande et la Belgique. La Russie étant classée tout en bas de l'échelle.
En plus de faire office de contre-poids à l'Occident antiblanc, la Russie dictatoriale du tsar Poutler n'aime pas les tapettes.
Cela tranche avec notre havre de liberté démocratique, dans lequel l'utilisation du terme « tapette » est punissable légalement.
Cela dit, Pink Cross salue tout de même les efforts faits au niveau politique suisse, en faisant notamment référence au canton du Valais qui a récemment interdit les thérapies de conversion. À Genève et sur Vaud, une démarche semblable se dessine.
Le Valais n'a pas seulement interdit les thérapies de conversion, il a aussi validé, pour le bon plaisir de parents éligibles aux camps de concentration, les lectures par des drag-queens de progagande sidaïque pour enfants.
Nos politiciens peuvent se féliciter d'être adoubés par les trithérapiques de Pink Cross pour leur servilité sans faille.