Les États-Unis et l'Allemagne font un pas de plus dans la Troisième guerre mondiale

Ils y sautent même à pieds joints

Les États-Unis et l'Allemagne font un pas de plus dans la Troisième guerre mondiale
« Shit, Olaf, je me suis rechié dessus »

Un nouveau cap a été franchi dans l'aggravation des tensions sur le front de l'Est.

Dans ses rares moments de discernement, Biden, craignant à juste titre des conséquences au potentiel désastreux, tentait de freiner les menées belliqueuses de (((l'État profond))). En vain.

Aussi, livrer aux Ukrainiens des armes sorties du complexe militaro-industriel payées par le contribuable américain qui finissaient par être abandonnées aux Russes commençait à devenir franchement humiliant.

Traduction

Un responsable américain déclare qu'un nombre "inacceptablement élevé" de composants d'armes américaines est tombé entre les mains des Russes.

Après l'annonce de Macron le dingo d'envoyer des troupes françaises en Ukraine, seule l'Allemagne s'opposait à permettre à l'armée ukrainienne l'utilisation d'armes occidentales pour frapper le territoire russe. Olaf Scholz, on le comprend, ne souhaitait pas être retenu par l'histoire pour avoir été le chancelier ayant provoqué la conflagration sur le sol européen.

Hélas, depuis 1945, l'Allemagne vaincue n'est plus qu'une colonie administrée par Washington et infestée de bases militaires qui n'ont pour objectif que la ruine des intérêts du continent européen.

C'est donc en suivant les ordres de leurs maîtres que les Allemands ont enfin autorisé l'Ukraine à poursuivre l'escalade de la Troisième guerre mondiale.

L'OTAN n'arrive plus à cacher son besoin urgent d'aller casser du Popov.

Seule la Hongrie refuse encore de se faire entraîner dans la guerre.

Traduction

La Hongrie travaille à "redéfinir" le statut de son adhésion à l'OTAN pour permettre des exclusions au cas où l'alliance militaire entreprendrait des actions militaires en dehors du territoire de l'alliance de défense, déclare le Premier ministre Viktor Orban.

Mais les mallettes garnies d'oseille de Von der Layen permettront sans doute à Orban de retrouver la voix de la raison.

Reste à savoir quel sera le premier pays à payer le prix d'une telle provocation. Personnellement, je penche pour les Baltes ou les Polonais, qui ont tous deux également affiché leur volonté de déployer des troupes sur le terrain en cas de victoire russe.

Traduction

Les États baltes et la Pologne pourraient déployer des troupes en Ukraine si la Russie réussit, selon les médias.

Poutler avait déjà prévenu les Britanniques de représailles en cas d'utilisation de leurs armes sur le territoires russe.

Poutler avertit les Britanniques qu’ils risquent des frappes balistiques
Foutez-moi Londres en l’air

Nos dirigeants ne sont pas sourds, mais déterminés à nous embarquer dans une voie à l'issue dramatique. Vladimir a donc répété ce que son pays considérerait comme une déclaration de guerre.

À ce stade, on ne peut qu'espérer que les peuples européens entendent les avertissements de Moscou. Ces gens ne plaisantent pas, et tester les limites d'une puissance nucléaire en sous-entendant qu'il s'agirait de « bluff » est au-delà de l'irresponsabilité.

Comme le chapô de cet article publié sur Le Temps écrit par le Juif Alexandre Lévy :

Moscou hausse le ton contre les pays européens qui donnent le feu vert aux Ukrainiens pour utiliser leurs nouvelles armes contre des cibles en Russie. Véritable «ligne rouge» ou bluff?

Nos médias et leurs plumitifs paieront leur complicité pour nous pousser dans une telle folie.

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