Les Français de Suisse nous remercient en votant Macron
Pour s'en plaindre le jour suivant
Après la victoire en France du candidat de l’oligarchie globaliste face au péril fasciste, Swissinfo nous livre plus de détails sur les protecteurs français de la civilisation européenne résidant en Suisse.
Un peu plus de 45% des quelque 123’800 citoyennes et citoyens français inscrits dans la circonscription consulaire de Genève – qui couvre les cantons francophones – ont participé au second tour de l’élection présidentielle dimanche. Emmanuel Macron a obtenu 81,3% des suffrages, selon les résultats communiqués dimanche soir. Son adversaire Marine Le Pen a pour sa part récolté 18,7% des voix des Françaises et Français établis en Suisse romande.
En Romandie, un peu moins d’un Français sur deux a accepté de participer à leur cirque électoral. Plus de 80% des votants se sont déplacés pour faire barrage à l’extrême droite nazie représentée par la femme à chat. Leur action doit être perçue comme une œuvre de salut public. Grâce à leur finesse d’analyse politique, la sauvegarde de l’Europe démocratique est assurée.
Les chiffres de la circonscription consulaire de Zurich n’étaient pas encore disponibles ce lundi à la mi-journée. Les résultats pour la Suisse romande sont en tout cas très proches du vote de la communauté française expatriée dans son ensemble – 86,1% des voix pour le président sortant, contre 13,9% pour sa rivale d’extrême-droite, selon les chiffres du ministère de l’Intérieur français.
Les chiffres sont maintenant disponibles. La circonscription de Zürich recouvre la Suisse alémanique, le Tessin et le Liechtenstein. Le représentant de la finance internationale a réalisé un score qui a fait frémir jusque dans les rangs de la gauche: 88.88%, Heil!
Le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis, qui assure la présidence tournante de la Suisse cette année, a félicité Emmanuel Macron pour sa victoire via Twitter. Il a souligné le lien étroit qui existe entre les deux pays, notamment par le biais de leurs importantes communautés d’expatrié-es.
La popularité d’Emmanuel Macron en Suisse s’était déjà révélée lors du premier tour des élections le 10 avril. Le président était arrivé largement en tête auprès des électrices et électeurs français domiciliés en Suisse, avec près de 46% des suffrages exprimés.
Le leader de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon était arrivé en deuxième position (18%), suivi du candidat de droite nationaliste Éric Zemmour et de l’écologiste Yannick Jadot (8,4%). Marine Le Pen ne s’était pour sa part classée que 5e avec environ 7% des voix.
[…]
Voici le résultat de 200 ans d’égalitarisme athée matraqué à outrance sur un peuple apostat. Quoi qu’il arrive, il ne faut surtout pas faire partie du camp de la haine estampillé «extrême droite» par la meute médiatique. Mieux vaut encore se faire enrichir par des couteaux islamiques de la paix, braquer par des mineurs de 28 ans isolés ou violer entre deux tentes de camping par des migrants camés jusqu’à l’os.
Concernant l’expatriation en Suisse, entre des envahisseurs venus du tiers-monde ou des frères de sang européens, mon choix est fait. Malheureusement, nous accueillons 80% de Français dont le cerveau est complètement lobotomisé par des conceptions universalistes propres à leur régime. Il faudrait systématiquement renvoyer les macronistes et autres électeurs de ce camp idéologique dans le Frankistan qu’ils contribuent à faire advenir et les forcer à vivre dans les bidonvilles «quartiers difficiles».
Ces ahuris ne se rendent pas compte que leur vote n’est pas seulement néfaste pour la France, mais pour l’Europe entière. Les conséquences se font sentir en Suisse aussi, que ce soit culturellement par le gauchisme qui n’arrête pas d’enfler ou par l’immigration que l’État français cherche à imposer à ses voisins au nom de la solidarité et des Droits de l’homme. Ces expatriés sont des traîtres intégraux fuyant leur pays en déliquescence pour continuer de le saloper depuis l’étranger, tout en accentuant la pression sur leur pays hôte.
Cela n’engage que moi, mais j’ai l’intime conviction que la France en tant que nation est perdue. Le système républicain ira au bout de sa logique et débouchera inévitablement sur un éclatement du territoire en zones délimitées par l’appartenance ethnoculturelle. La Reconquista se fera à long terme, une fois que les Européens de l’Ouest cesseront de nier des évidences dont la science moderne tend à démontrer la véracité et se débarrasseront de l’utopie de la société égalitaire et multiraciale.
L’Ordre naturel retrouvera sa place, que l’homme postmoderne le veuille ou non.
