Les globalistes du WEF accusés de racisme et de harcèlement sexuel
Le racisme passe encore
Chaque année, au Forum de Davos, les escorts sont en rupture de stock. Les grands bourgeois qui s'y pressent sont donc forcés de trouver des solutions pour satisfaire leurs pulsions.
Et si ce n'est pas pour les harceler sexuellement, c'est pour les virer séance tenante pour manque de rentabilité économique.
Le World Economic Forum (WEF) est au centre d'une grande enquête du «Wall Street Journal». Mais cette fois, l'article ne s'intéresse pas aux idées des leaders pour améliorer le monde, mais à des questions de harcèlement sexuel, de discriminations sexistes et racistes et d'âgisme. Le rapport parle d'un «climat de travail toxique» au sein du WEF qui, depuis des années, fait de l'égalité des chances son cheval de bataille.
Klaus Schwab et son équipe de direction sont au centre des critiques. Le WEF aurait laissé s'installer «une atmosphère hostile aux femmes et aux Noirs» sur le lieu de travail. Le WEF emploie 850 personnes dans le monde entier, la plupart au siège principal à Cologny (GE). Il est également question d'incidents lors de la réunion annuelle du WEF à Davos.
Voici le TOP20 de l'écart homme-femme, à gauche en partant depuis le haut de la liste, à droite depuis le bas.
La Suisse est classée 20ème.
Ainsi, deux témoins racontent qu'elles ont été harcelées par des invités VIP à Davos il y a des années. D'autres collaboratrices accusent des cadres supérieurs, dont certains travaillent encore aujourd'hui au WEF. Ceux-ci les auraient harcelées sexuellement.
Et ce n'est pas tout: des managers blancs du WEF auraient proféré des insultes racistes à l'encontre de leurs collègues noirs. Ils auraient même utilisé le «N-word». Certaines personnes issues de minorités raciales auraient été ignorées lors des promotions, ou n'auraient pas pu travailler à Davos. De plus, Klaus Schwab aurait personnellement ordonné à un chef du personnel de licencier un groupe de personnes de plus de 50 ans. Ce dernier ayant émis des réserves sur les licenciements, le manager a dû partir lui-même, selon le «Wall Street Journal».
Pour ceux qui ne le sauraient pas, "N-word" est un mot codé pour les fragiles qui n'ont pas le courage suffisant pour employer le mot pourtant très élégant de NÈGRE.
Les reproches formulés dans l'article du «Wall Street Journal» se basent sur des plaintes internes, des e-mails ainsi que des dizaines d'entretiens avec des collaborateurs du WEF, selon le journal. Des femmes enceintes se sont également exprimées à plusieurs reprises. Elles ont été licenciées ou ont vu leur carrière s'arrêter. Et ce, après être tombées enceintes ou être revenues de leur congé maternité.
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Le reste de l'article n'est que lamentations de l'organisation du WEF comme quoi tout ne serait qu'un tissu de mensonges.
Généralement, je ne suis pas fan de relayer des témoignages, souvent sujets à caution. Mais je suis encore moins fan de ces globalistes et leur projet de société techno-communiste.